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Manchettes locales

Les municipalités du bassin de Chambly ont-elles les moyens de leurs ambitions en ce qui concerne la réalisation future d’un projet de train de banlieue ? Chose certaine, les contribuables devront fouiller dans leurs poches si le projet se réalise. Selon le maire de Richelieu Jacques Ladouceur, l’établissement d’une nouvelle ligne de train de banlieue reliant la région du bassin vers l’île de Montréal entraînerait une augmentation d’environ 7 % du compte de taxes pour tous les contribuables richelois. Dans l’édition du mois prochain du journal municipal Le Courant, M. Ladouceur pose le questionnement à savoir si la réalisation du projet est essentielle compte tenu des coûts élevés reliés au service. Parmi les montants à prévoir, le maire mentionne notamment l’achat du corridor du CN, la mise à jour de la qualité des rails et des dormants exigée, l’amélioration des structures des ponts et des ponceaux, l’achat de locomotives, de wagons et de carburant, sans compter les coûts d’entretien du matériel et des réparations des structures. M. Ladouceur explique qu’un tel service représenterait ainsi une somme d’environ 200 000 $ par année pour Richelieu, montant qui serait attribué uniquement à un nouveau service de transport vers le centre-ville de Montréal.

jeudi, 29 janvier 2009 19:00

Un CLSC tout neuf à Richelieu

C’est le 11 février prochain que le nouveau Centre de santé et de services sociaux du Richelieu ouvrira ses portes au 300, chemin de Marieville, à l’angle du chemin des Patriotes, dans la municipalité de Richelieu. « Nous sommes ravis de pouvoir nous installer dans ce bâtiment construit spécifiquement pour nous. Toute l’équipe du CLSC a très hâte de recevoir la clientèle dans ce nouvel environnement beaucoup plus fonctionnel et mieux adapté à nos besoins », de souligner Christine Lessard, directrice générale du Centre de santé et de services sociaux Haut-Richelieu–Rouville. Ce projet de relocalisation du CLSC du Richelieu visait à doubler la superficie actuelle en la faisant passer de 2 006 m2 à 5 078 m2. Ce nouveau bâtiment permet d’accueillir jusqu’à 168 employés. Présentement, environ 130 personnes et 13 médecins composent l’équipe du CLSC. Mentionnons qu’il y aura interruption de tous les services du CLSC les 9 et 10 février prochain en raison du déménagement, à l’exception des services sur rendez-vous de la clinique ambulatoire. Quant aux prélèvements, ils pourront être faits le 10 février seulement.

jeudi, 29 janvier 2009 19:00

Des élèves pompiers d’un jour

Le Service de sécurité incendie Chambly – Carignan invite les élèves des écoles primaires de Chambly et Carignan à participer au concours Pompier d’un jour, en faisant parvenir un dessin portant sur le thème La prévention des incendies. Les gagnants seront invités à passer la journée du mercredi 4 mars en compagnie des pompiers à la caserne. Une œuvre par catégorie (élèves de maternelle à 2e année; 3e et 4e année; 5e et 6e année) sera choisie par un jury composé des employés du Service. Le dessin doit être en couleur sur un papier ou carton de format 8 ½ par 11 po. Les élèves peuvent utiliser le médium désiré. Les œuvres doivent être transmises avant le jeudi 26 février. Tous les détails en communiquant avec le service de sécurité incendie.

Dans une note transmise au journal, un citoyen de Chambly rétorque à l’ex-conseiller municipal Jean-Paul Grégoire :
« Bien que vous méritiez votre retraite, vous ne pouvez pas vous en prendre au maire actuel et aux citoyens irrespectueux d'Action Chambly qui le supportent durant les assemblés, sans en subir les contrecoups. Votre ancien chef de parti  daigne toujours de revenir reprendre son siège à l'hôtel de ville, même ayant été battu par un juge et de multiples avocats par une seul voie.  Est-il repentant de ce qu'il a fait sans consulter les citoyens, comme les trois carrefours giratoires? Ou de ce qu'il n'a pas fait, comme voir partir le bureau assurance-emploi et ne pas implanter un centre communautaire pour les artistes et aînés? Ne pas mettre en valeur la zone du Fort-Chambly, ou empêcher l'établissement de nouveaux commerces en protégeant sa vieille garde de la Chambre de commerce? Pourtant, vous étiez présent aussi à cette époque révolue pour administrer nos taxes. Il serait donc temps que vos amis se lèvent et vos anciens partisans se fassent entendre.

Le taux de décrochage scolaire est passé de 19 % à 23 % l’an dernier en Montérégie. Les chiffres sont à ce point inquiétant qu’il y aura une commission parlementaire du gouvernement du Québec sur le dossier cette année.
Même si les résultats de la Commission scolaire des Patriotes (CSP), qui couvre les établissements scolaires de Chambly, n’ont pas encore été dévoilés, il semble que la CSP soit mieux placée que d’autres en ce qui concerne le décrochage, selon le porte-parole Pierre Laverdure. « Nous avons un plan d’action, des méthodes et des procédures pour aider les milieux moins favorisés. Cela dit, je peux vous confirmer que certaines commissions scolaires de la Montérégie ont plus de difficultés que nous concernant cette problématique. Il faut dire qu’il existe un lien direct avec l’indice socio-économique », a mentionné hier M. Laverdure lors d’une entrevue téléphonique. Selon ce dernier, la CSP annoncera d’ici deux semaines ses chiffres officiels ainsi que les moyens qu’elle souhaite prendre pour encourager les jeunes à demeurer à l’école. Le 19 janvier dernier, la Commission scolaire des Patriotes a publié son rapport annuel 2007-2008, dans lequel la problématique du décrochage n’est pas évoquée.

Alors que la Fraternité des policiers et policières de Saint-Jean-sur-Richelieu demande l’arbitrage pour le règlement de sa convention collective, la direction générale et le conseil municipal de Saint-Jean dénoncent la rupture des négociations et l’attitude « non constructive de la Fraternité ». Dans un communiqué émis cette semaine, l’employeur soutient qu’il est faux de prétendre qu’il est le seul responsable de la situation actuelle. La Ville affirme au contraire avoir acquiescé à plusieurs demandes du syndicat. « En début de négociations, l’employeur a tenté de négocier sur la base des intérêts (…) En cours de route, les représentants de la Fraternité ont quitté la table de négociations. En 2007, le syndicat a exigé le retrait à la table du directeur de police, le représentant de l’employeur, pour continuer la discussion.  L’employeur a acquiescé à ce moment-là. » Concernant les changements de représentants patronaux autour de la table de négociation, la Ville mentionne que ceux-ci sont survenus suite au départ consécutif du directeur des ressources humaines et du directeur de police et que depuis ce temps, la Fraternité a fermé la porte aux négociations.