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Le député de Chambly Bertrand St-Arnaud a prononcé la semaine dernière son premier discours à l’Assemblée nationale dans le cadre du débat portant sur le message inaugural de la première session de la 39e législature. Lors de son allocution, M. St-Arnaud s’en est pris au premier ministre Jean Charest, l’accusant d’avoir trompé les Québécois lors de la dernière campagne électorale sur trois points: l’existence d’un déficit budgétaire, la baisse du montant de la péréquation versé au Québec et les pertes de la Caisse de dépôt et de placement. Le député a ainsi rappelé que le premier ministre avait indiqué lors de la campagne qu’il n’y aurait pas de déficit, que la diminution de la péréquation pour le Québec ne serait que de 75 millions et que les Québécois n’avaient aucune raison de s’inquiéter des pertes appréhendées à la Caisse de dépôt et placement. « Or, une fois la campagne électorale terminée, les Québécois ont appris exactement le contraire. Premièrement, qu’il y aura un déficit dès cette année. Deuxièmement, que le manque à gagner en péréquation sera non pas de 75 millions mais bien de 1 milliard. Puis, que le rendement en 2008 de la Caisse de dépôt serait de moins 25 %. »

Le maire de Richelieu Jacques Ladouceur n’avait toujours pas reçu de nouvelle de sa demande de financement auprès du ministère des Affaires municipales, jeudi, pour la réalisation du projet de promenade historique. En entrevue, le maire Ladouceur a dit espérer obtenir réponse à sa demande dans les plus brefs délais, surtout que l’offre du plus bas soumissionnaire, prolongée de six mois en fin-novembre dernier, arrivera bientôt à échéance. « Est-ce qu’on va pouvoir débloquer des fonds à l’intérieur de l’échéancier ? Je n’en suis pas certain. Chose certaine, ce serait frustrant de se retrouver dans une situation où l’on obtiendrait tout le financement, mais que l’offre ne tiendrait plus », a indiqué le maire Ladouceur, ajoutant que la lenteur des paliers gouvernementaux suite aux élections fédérales et provinciales n’avait certainement pas aidé à faire avancer le projet. « Il ne reste que quelques semaines avant que les coûts de l’offre en question ne tiennent plus. Ce serait plate de revenir en règlement d’emprunt », a mentionné le maire, inquiet. « Nous avions un dialogue mais tout a semblé ralentir dernièrement avec la sortie du budget.

Marieville a le vent dans les voiles

lundi, 23 mars 2009 20:00

Développement immobilier, surplus budgétaire, gel des taux de taxes et étalement urbain, Marieville vit des jours prospères malgré un contexte économique difficile. Et l’avenir s’annonce plein de promesses.
Alors que le développement de Marieville s’accélère, le plus grand projet domiciliaire de l’histoire de la municipalité, Le Domaine des Ruisseaux, en est pour quelque chose. Inauguré en novembre 2007, le projet est en avance sur son échéancier. « Le projet (NDLR : qui inclut la mise en chantier de 800 habitations sur cinq ans dans le secteur est de la ville) devrait permettre à la Ville d’accueillir encore cette année de nombreux nouveaux arrivants », lance le maire Michel Marchand dans la dernière édition de l’Info municipal. Après avoir équilibré son budget à quelque 9,6 M$ en 2008, l’administration marievilloise prévoit aujourd’hui des revenus de l’ordre de 11,2 M$ pour l’an dernier, ce qui excède de plus d’un million les prévisions pour les dépenses (10,1 M$). Grâce aux revenus non prévus et reçus, tels que les droits sur mutation immobilière et les revenus en taxes dus à la venue de nouvelles propriétés, Marieville a pu injecter un peu plus d’un demi-million provenant du surplus de 2008.

Facebook possède plusieurs visages. Pour certains, le réseau permet les visites les plus banales, les divertissements passagers et les regroupements les plus nobles. Mais pour d’autres, Facebook est beaucoup plus que ça; une vitrine qui comble autant les manques les plus profonds que les besoins les plus superficiels. Une véritable drogue. Car autant les plus ouverts semblent constamment ressentir la nécessité de dévoiler leurs meilleurs clichés photographiques de leur dernière virée, autant les plus curieux ne semblent pas pouvoir s’empêcher d’aller consulter quotidiennement les photos des autres. Il y aussi les beaux imprudents, qui annoncent en grande pompe à leurs 800 « amis », permettez-moi les guillemets, connaissances, relations improvisées et vulgaires inconnus, qu’ils partent une semaine à Cuba de telle date à telle date, alors que juste en bas, ils affichent leurs coordonnées personnelles. Un message clignotant « Venez me dévaliser » avec ça ? Mais mes préférés sont ceux que j’appelle affectueusement les cyber-exhibitionnistes. Vous savez, ceux qui repoussent les limites de l’impertinence.

Moins de nids-de-poule à Chambly

jeudi, 19 mars 2009 20:00

Alors que le dégel laisse place au printemps, le Service des travaux publics et environnement urbain de la Ville de Chambly a remarqué un meilleur état des rues de Chambly cette année depuis la fonte des neiges. « Le service investi annuellement dans des interventions préventives pendant la période estivale (…) Cette opération semble porter fruit puisque le nombre de nids-de-poule est mineur cette année », selon Micheline Le Royer, responsable des communications à la Ville de Chambly. Depuis quelques semaines, une inspection visuelle du territoire est effectuée quotidiennement. Elle permet à des équipes d’intervenir rapidement afin d’assurer la plus grande sécurité des automobilistes et des piétons. Si vous êtes témoin de la présence d’un nid-de-poule sur une rue, vous pouvez joindre le Service des travaux publics au 450 658-2626.

Le retour du bruit inutile

jeudi, 19 mars 2009 20:00

Dans l’édition du mois prochain du bulletin municipal Le Courant, le maire de Richelieu Jacques Ladouceur fait une sortie en règle contre l’utilisation abusive de ce qu’il appelle les bourdons mécanisés, que l’on entend de plus en plus à ce temps-ci de l’année. « Les motos bruyantes, automobiles à propulsion sonore et tondeuses de course font leurs apparitions en résonnant dans notre environnement (…) Que veulent prouver les automobilistes en installant leur fameux subwoofer que nous pouvons entendre à des kilomètres? Est-il si urgent de tondre sa pelouse le matin avant 10h ou le soir après 20h? À un feu rouge, pourquoi un motocycliste croit-il toujours que son moteur est sur le point d’étouffer et qu’il doit donner des coups d’accélération? », se questionne le maire. Pour Jacques Ladouceur, la palme revient toutefois à ces fameux scooters dont le système d’échappement a été modifié, qui sont des plus agressants et des moins sécuritaires. « Ces jeunes utilisateurs se déplacent en groupe, d’un point à l’autre, comme si cette machine était une extension de leur corps. Ils oublient le vélo, la marche ou les patins à roues alignées. »

La MRC de Rouville étudie la possibilité d’instaurer un service Internet haute vitesse (IHV) sans fil sur l’ensemble de son territoire. Au moins 425 personnes, qui n’ont toujours pas accès au service, souhaitent en bénéficier à prix compétitif.
Alors que la ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau a annoncé la semaine dernière une enveloppe de 24 millions $ pour aider les communautés rurales à étendre Internet haute vitesse à l’ensemble de leur territoire, l’importance d’offrir le service à la totalité de la population est partagée par les membres du conseil de la MRC de Rouville. Selon une enquête réalisée l’an dernier, la population des noyaux urbains de la MRC et environ 25 % de son territoire rural possède un accès haute vitesse avec Bell ou Vidéotron actuellement. À la lumière de ces résultats, un mandat d’étude a été confié au consultant Groupe LGA afin qu’il passe en revue différentes avenues technologiques possibles, dont la solution Mesh Wifi (réseau sans fil), offerte au sein la MRC du Haut-Richelieu. Hier, le maire de Marieville Michel Marchand a confirmé l’intérêt des élus de Rouville pour cette solution, à première vue moins onéreuse que l’installation de nouveaux fils aux quatre coins de la MRC.

L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue étudie la possibilité de pouvoir alimenter en énergie des entreprises agricoles avec le fumier de leurs vaches. Alors que le principe pourrait intéresser bien des propriétaires de la région, c’est dans une vision de découvrir des sources d’énergie alternative que l’Unité de recherche et de développement en agroalimentaire de l’Abitibi-Témiscamingue (URDAAT) a décidé d’inscrire ses recherches. L’objectif est de mettre sur pied un réacteur qui pourrait s’adapter à de petites entreprises agricoles. Les chercheurs évaluent actuellement l’efficacité de différents types de litière et de différents mélanges de microorganismes pour obtenir le meilleur ratio de méthane. Ceux-ci espèrent que des entreprises agricoles puissent fournir de l’énergie pour de petites communautés d’ici 5 à 10 ans. La possibilité de voir des tracteurs au biogaz est également étudiée.

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