Cette décision fait suite à un avis du syndicat de la CSHRE en février dernier. Les syndiqués avaient informé l’employeur que ses membres désiraient commencer l’année scolaire une semaine plus tard qu’à l’habitude soit le 1er septembre au lieu du 25 août. Cela repousserait l’arrivée des étudiants au 8 septembre. Selon la convention collective nationale, les enseignants doivent travailler 200 jours entre le 1er septembre et le 30 juin suivant. C’est ce qui a motivé cette décision de la direction.
Cette décision fait suite à une mésentente sur les aménagements locaux du contrat de travail. Le Syndicat voulait qu'un accord intervienne sur l'ensemble des éléments en pourparlers et non pas séparément sur le calendrier. Comme les négociations ne sont pas réglées, le calendrier non plus.