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Manchettes locales

La Sûreté du Québec mènera une enquête indépendante suite à la mort d’un automobiliste de 70 ans vendredi lors d’une poursuite policière effectuée par la Régie intermunicipale Richelieu-Saint-Laurent à Varennes. Vers 9h40, un automobiliste âgé de 16 ans a été pris en chasse par une autopatrouille de la régie policière, puisque la plaque d’immatriculation du véhicule qu’il conduisait avait été rapportée volée à Montréal. Poursuivie, la voiture du fuyard est entrée en collision avec une autre automobile à l'intersection de la rue Quévillon, sur le boulevard Marie-Victorin. Alors que le conducteur septuagénaire est décédé, la conjointe de l’homme, qui prenait place à ses côté, était dans un état critique aux dernières nouvelles. Une politique ministérielle a été décrétée pour remettre l’enquête entre les mains de la SQ. « Quand arrive des incidents de la sorte impliquant un corps policier, c’est du cas par cas », a souligné hier la porte-parole Joyce Kemp de la Sûreté du Québec. L’autopatrouille de la régie policière n’a pas été impliquée dans la collision mortelle. Le suspect a été arrêté et détenu.

Le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc était de passage au nouveau CLSC du Richelieu hier pour l’inauguration officielle des nouveaux locaux. Le ministre en a profité pour annoncer la formation du groupe de médecine de famille (GMF) CLSC Richelieu, qui regroupe douze médecins de famille de la région. « L’accréditation du GMF représente un pas de plus vers la réalisation de notre engagement électoral d’augmenter leur nombre à 300 », a indiqué le docteur Bolduc sur place. Le nouveau bâtiment, qui permet d’accueillir jusqu’à 168 employés, a ouvert ses portes le 11 février dernier au 300, chemin de Marieville, à l’angle du chemin des Patriotes. Sa relocalisation a permis de doubler sa superficie, en la faisant passer de 2 006 m2 à 5 078 m2.

Une équipe de hockey est comme une société à petite échelle. Vous avez des gens qui travaillent fort et qui n’ont jamais rien pour rien. Vous en avez d’autres qui ne foutent rien et qui ont toujours tout. Vous avez des vieux sages qui font la morale, vous avez de jeunes loups qui font les fous. Y’en a qui gagnent trop cher, y’en a d’autres qui méritent chaque cenne de leur paye. Mais au bout du compte, malgré les différences et les injustices, c’est l’unité, rien d’autre que l’unité, qui fait la force d’une équipe, la force d’une société. Aider l'autre, lui donner des conseils, faire en sorte qu’il donne le meilleur de lui-même. Chez le Canadien, il est clair qu'il réside un problème de discipline à l’extérieur de la glace pour quelques jeunes joueurs. Pour d’autres, c’est un problème d’égo. Mais en bout de ligne, c’est le soutien collectif qui remettra cette équipe sur les rails. Que Mike Komisarek aille chercher Sergei Kostitsyn dans un bar par le collet, voilà ce que le club a besoin. Qu’Alex Kovalev pense à l’équipe avant lui, voilà ce que le club a besoin. Non Guy Carbonneau ne peut être partout. En bout de ligne, ce sont les leaders, les vrais, qui doivent souder une équipe.

jeudi, 19 février 2009 19:00

Violent incendie à Saint-Mathias

À des kilomètres à la ronde, on pouvait voir une énorme colonne de fumée se dégager dans le ciel de Saint-Mathias-sur-Richelieu. Sur place, le feu réduisait en cendres un bâtiment agricole avec une vitesse fulgurante.
Un violent incendie a ravagé une grange de Saint-Mathias-sur-Richelieu située au 202, chemin des Patriotes, durant une bonne partie de la journée de mardi. Un problème électrique dans le moteur d’un tracteur, stationné dans la grange, a causé le feu. Vingt pompiers du service des incendies de la municipalité ont dû combattre l’incendie durant une dizaine d’heures, en compagnie de dix sapeurs de Richelieu, en renfort. « Nous avons reçu l’appel à 12h55. C’est le fils du propriétaire du bâtiment, qui habite tout près, qui a remarqué que de la fumée s’échappait de la grange. L’incendie a débuté dans le moteur d’un tracteur à l’intérieur du bâtiment. Le feu s’est propagé très rapidement avec le foin entassé sur place », a commenté mercredi soir le directeur des incendies de Saint-Mathias-sur-Richelieu, Bruno Jodoin. Lorsque les premiers intervenants sont arrivés sur les lieux, cinq minutes après l’appel, il était déjà trop tard pour le bâtiment, l’embrasement général ayant déjà commencé.

mercredi, 18 février 2009 19:00

Frousse au cégep de Saint-Jean

Un certain émoi a été créé hier au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu alors que deux individus habillés en vêtements de camouflage ont été arrêtés dans les limites de l’établissement avant d’être relâchés par les policiers un peu plus tard. Peu après 11h30, un citoyen a signalé la présence de deux individus en tenue de camouflage et que l’un d’entre eux portait une « arme longue ». Le service de police de Saint-Jean prenant l’information très au sérieux, une quarantaine de policiers ont été dépêchés en vitesse au cégep. Vers 13h, les suspects ont été localisés devant le cégep et arrêtés. Aucun ne portait d'arme. Les individus ont toutefois reconnu avoir transporté une carabine à plomb plus tôt dans la journée pour aller « tirer dans le bois ». Ils ont été interrogés, puis relâchés sans qu'aucune accusation ne soit portée. Rien, selon les policiers, ne laisse supposer qu'ils aient planifié des agressions. Il est possible qu'un des hommes reçoive une contravention pour avoir transporté une arme dans les limites de la municipalité. Un message a été diffusé à différents reprises à l'interphone du Cégep de Saint-Jean pour informer les étudiants qu'une opération policière était en cours, de demeurer calme et de vaquer à leurs occupations habituelles.

mercredi, 18 février 2009 19:00

Une maison familiale rurale dans Rouville ?

Le développement d’une maison familiale rurale (MFR) dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Rouville est largement souhaité au sein de la population, selon le Centre local de développement (CLD) Au cœur de la Montérégie. Alors que le CLD a été mandaté au printemps dernier pour évaluer l’intérêt, la pertinence et la faisabilité d’un projet d’une MFR, les gestionnaires d’entreprises, représentants scolaires, élèves du secondaire et parents se sont montrés majoritairement en faveur de l’établissement d’une telle maison. Une MFR est un projet pédagogique adapté pour les élèves de 3e, 4e et 5e secondaire. Sa caractéristique principale est d’offrir à des jeunes une formation différente, l’opportunité d’accélérer leur parcours scolaire et d’obtenir un diplôme professionnel qui leur permettra d’entrer plus rapidement sur le marché du travail ou de poursuivre une spécialisation professionnelle. De plus, une formation réussie en MFR assure l’obtention du diplôme d’études secondaires. Elle se démarque également par le fait qu’il s’agit d’un apprentissage en alternance, soit deux semaines à l’école et deux semaines en entreprise pour la durée des études.