Le restaurant Fourquet Fourchette, qui s’est implanté au Palais des congrès de Montréal en janvier 2005, a remporté un Ulysse dans la catégorie Développement touristique – Restauration lors de la 24e édition des Grands Prix du Tourisme québécois pour la région de Montréal, le 23 mars dernier. En 2008, le Fourquet Fourchette du Palais des congrès a servi au-delà de 40 000 clients, dont plus de 30 % du marché international. Le Fourquet s’impose de plus en plus comme un incontournable à Montréal pour qui veut découvrir les saveurs du terroir dans un décor inspiré des légendes de la Nouvelle France, un concept unique dans un environnement convivial. Avec des saveurs issues de la tradition gastronomique québécoise et amérindienne, le Fourquet Fourchette offre une cuisine contemporaine et des bières de spécialité brassées par Unibroue.

Ça ne tourne pas rond

jeudi, 02 avril 2009 20:00

C’est un printemps bien gris pour un ciel si bleu. À vrai dire, le malaise se fait sentir depuis le début de l’année 2009, quand le tragique drame familial de Saguenay a secoué le Québec le soir du Jour de l’an. Depuis ce temps, on assiste à une multiplication des histoires tristes qui finissent mal. Piedmont, Laval-des-Rapides, St-Élie-d’Orford, Matane et tout récemment les deux fillettes retrouvées sans vie à Laval. Six drames familiaux en moins de trois mois. Treize morts, dont huit enfants. Huit ! Ça ne tourne pas rond. On nous dira bien qu’il y a toujours quelque chose d’insaisissable, quelque chose qu’on ne peut pas comprendre. On nous parlera de dépression et de boisson, d’un effet d’entraînement et de la crise économique. On nous fera la leçon des réalités impossibles à saisir car impossibles à vivre. C’est vrai. Mais comment peut-on se résoudre à accepter l’inacceptable ? Il me semble que si la décision d’enlever la vie à un être humain est tragique, celle d’enlever la vie à un enfant est impardonnable. D’être rendu au point où la personne considère que c’est la seule décision à prendre.

Une étude dévoilée mercredi sur les ventes d’une quinzaine de produits alimentaires dans quatre épiceries de la Montérégie, dont le marché IGA de Chambly, démontre que les produits affichant le logo « Aliments du Québec » voient leurs parts de marché augmenter en moyenne de 2,8%, une hausse importante. L’étiquette « Aliments du Québec », que l’on voit de plus en plus sur divers produits dans les marchés d’alimentation, aurait ainsi un impact significatif sur le comportement des consommateurs. Aux fins de la recherche, on a considéré à la fois des produits très populaires et d'autres dont la part de marché était plus modeste. Les résultats étaient semblables. Alors qu’un produit détenant 6% du marché voit sa part grimper à près de 9%, un autre dominant le marché à 60% peut la faire passer à près de 63%. Pour François Coderre, titulaire de la Chaire Bombardier de l’Université de Sherbrooke qui a réalisé l’étude, l'accroissement constaté est très significatif sur le plan statistique. La directrice générale d'Aliments du Québec, Lyne Gagné, a réagi avec enthousiasme à la nouvelle. « On a enfin des données probantes qui nous encouragent à miser plus que jamais sur cette marque identitaire», a-t-elle déclaré.

Le maire de Chambly Denis Lavoie a dévoilé hier en point de presse les plus récentes données sur la collecte des ordures et le recyclage. Des statistiques encourageantes qui démontrent que les citoyens font leur part.
Alors que les matières recyclables représentaient 21% des matières collectés en janvier 2007, cette proportion est passée à 23% un an plus tard, puis à 30% en janvier dernier. Malgré l’ajout de 400 portes et de plus de 1 100 résidents depuis deux ans, Chambly a non seulement réussi à diminuer la proportion en ordures de son tonnage total, mais son nombre de tonnes d’ordures produites; 479 tonnes en janvier 2007 contre 413 tonnes en janvier 2009. En comparaison, le tonnage des matières recyclées est passé de 124 à 177. « Je suis très fier que la population ait suivi le mouvement. L’arrivée des nouveaux bacs de 360 litres a motivé les citoyens de Chambly à recycler. Les changements des derniers mois, le bac pêle-mêle et la collecte des ordures aux deux semaines sont des indicatifs qui ont encouragé les citoyens à poursuivre leurs efforts », a souligné le maire Lavoie.

La dernière collecte de sang d’Héma-Québec à Marieville, qui se tenait vendredi dernier au Club de l’âge d’or, a permis d’amasser 138 dons, soit plus de 90 % de l’objectif de la collecte, établi à 150 dons. C’est le Club Optimiste et Les Outils N.A.P. Gladu de Marieville qui parrainaient cette collecte, aidés par plusieurs bénévoles et commanditaires.  Alors que les besoins en sang sont constants, seulement 3 % des Québécois admissibles au don de sang contribuent à la réserve collective gérée par Héma-Québec pour les hôpitaux du Québec et leurs malades. Chaque année, les hôpitaux du Québec utilisent plus de 450 000 produits sanguins, transfusés à 80 000 malades. Héma-Québec doit prélever un minimum de 1 000 dons par jour afin de subvenir aux besoins de la population québécoise.

Le député de Chambly Bertrand St-Arnaud invite les parents en attente d’une place en services de garde éducatifs pour leur enfant à faire part de leur témoignage et à signer une pétition par le biais du site Internet www.unenfantuneplace.org. Le Parti québécois espère que ce site deviendra un incitatif pour que le gouvernement libéral crée de nouvelles places en garderies. « Il faut savoir qu’investir dans le développement de places en services de garde éducatifs, c’est investir dans le capital humain. Récemment, le rapport de Jacques Ménard sur le décrochage scolaire disait que le réseau était un atout important pour le Québec en matière de persévérance scolaire et que le Québec tirera des bénéfices importants de son investissement dans le réseau des services de garde », a souligné mardi le député de Chambly en compagnie de la députée d’Iberville, Marie Bouillé. Bertrand St-Arnaud ajoute qu’il s’agit d’un non-sens que le gouvernement n’ouvre pas davantage de places en cette période de mini baby-boom au Québec, ce que partage la chef du PQ Pauline Marois. « Le Québec vit actuellement un mini baby-boom. C’est une excellente nouvelle.

François Villeneuve, citoyen de Richelieu depuis 35 ans, a des idées plein la tête. Frustré par le travail du maire Jacques Ladouceur, il compte se présenter comme son successeur lors des prochaines élections municipales, en novembre prochain. François Villeneuve, un Richelois de naissance impliqué dans la communauté, assiste régulièrement aux séances du conseil municipal. Et il en a marre du maire Ladouceur. « Le maire est carrément absent. Il ne prend pas le temps d’écouter ses concitoyens. Il n’y a pas de communication entre lui et les Richelois », a indiqué hier le futur candidat lors d’un entretien téléphonique. M. Villeneuve, qui a été pompier durant une dizaine d’années à Richelieu et maintenant journalier à Montréal, donne l’exemple de l’étude de Raymond Chabot Grant Thornton commandé par le maire Ladouceur, au coût de plusieurs milliers de dollars, alors que les recommandations des citoyens impliqués dans les différents comités de la Ville n’ont pas été entendues selon lui. M. Villeneuve affirme avoir déjà bien des idées en tête pour le développement de sa ville natale. « Des idées qui ne coûteraient pas trop chers », souligne-t-il.

Emploi : la Montérégie se démarque

mercredi, 01 avril 2009 20:00

Malgré un contexte économique difficile, la Montérégie a connu une hausse remarquable de 38 400 emplois au quatrième trimestre de 2008 par rapport au dernier trimestre de l’année précédente, une augmentation de 5,5 %. Selon les dernières données sur l’emploi et le chômage du Bulletin régional sur le marché du travail d’Emploi-Québec, ce sont principalement des emplois à temps plein qui ont été créés (22 800) dans la région durant cette période. Le contraste est important avec l’ensemble du Québec, qui a connu un recul significatif de 3 700 emplois à temps plein au quatrième trimestre de 2008. Au niveau du chômage, la Montérégie s’est aussi démarqué du Québec en 2008. Ainsi, alors que le taux de chômage a légèrement chuté dans la région entre décembre 2007 et décembre 2008, passant de 6,5 % à 6,2 %, celui dans l’ensemble Québec a quelque peu augmenté, passant de 6,8 % à 7,0 %. L’emploi chez les femmes a continué de croître l’an dernier dans la région. Le nombre d’emplois chez les femmes a ainsi augmenté de 4,0 % par rapport à l’année précédente. Il faut toutefois noter que près de trois quart des emplois créés sont à temps partiel.

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