Cette déclaration du ministre de la Justice fait suite au tollé soulevé par l’opposition suite aux déclarations de Pauline Marois qui avait invité la commission, hier matin en sortant d’une rencontre avec son caucus, à faire preuve de « prudence » dans son travail. De son côté, le vice-premier ministre François Gendron a dit souhaiter que la commission « fasse attention ». Ces déclarations ont eu lieu au lendemain du témoignage de Gilles Cloutier, un ancien cadre de la firme Roche, qui a impliqué l’ancien ministre péquiste Guy Chevrette dans des malversations.
Tout au long de la journée, la Coalition Avenir Québec et le Parti Libéral ont exigé des excuses de la première ministre et de son numéro 2. Les deux partis ont sommé la première ministre de présenter des excuses.