Il semble que les responsables de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) de la Montérégie n’aient pas encore de réponse cette année. L’an dernier, ils s’étaient déjà montrés surpris par la hausse et avaient indiqué qu’ils feraient une étude à ce sujet. Les résultats de cette étude ne sont toujours pas connus, mais devraient arriver sous peu. L’an dernier, ils avaient émis comme hypothèse que les compressions budgétaires du gouvernement dans les services offerts aux jeunes et aux familles auraient pu expliquer la hausse.
L'Association des centres jeunesse du Québec a rendu public cette semaine son bilan annuel.