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vendredi, 15 mai 2009 07:58

Position de la FFQ:je rêve ou quoi?

La Fédération des femmes du Québec (FFQ) ont appuyé, le 9 mai dernier, la position proposée par leur conseil d’administration. En même temps qu’elles s’opposent à l’obligation qui est faite aux femmes de porter des signes religieux ici et ailleurs dans le monde, elles s’opposent également à l’interdiction du port de ces signes au sein de la fonction et des services publics québécois. « Pas d’obligation, pas d’interdiction » a osé déclarer Michèle Asselin, présidente de la FFQ. La Fédération des femmes du Québec ça vous dit quelque chose? C’est cet organisme fondé en 1966 par Thérèse Cassegrain, une grande féministe Québécoise. Cet organisme qui a aujourd’hui 43 ans a parlé, le 9 mai dernier, au nom d’une minorité de femmes, laissant de côté l’opinion d’une majorité. Encore une fois, les groupuscules ont infiltré une association.

Il est évident que des groupes de femmes musulmanes se sont jointes aux assises de la fédération pour mettre de la pression sur cette association qui fait dans le «politically correct» à outrance. Encore une fois, ces as de la rectitude politique se sont fait endormir par les «Ô combien libres» femmes voilées. Il n’était certainement pas question que ces sournoises militantes prennent la chance que la FFQ se positionne du côté du Conseil du statut de la femme qui s’est dit CONTRE le port du voile dans la fonction publique. Le Québec est scandalisé avec raison. Le débat sur les accommodements raisonnables est reparti. Et bien tant mieux! Que l’on règle ces aberrations une fois pour toute et que Christine St-Pierre, ministre de la Condition féminine, se positionne enfin. C’est ma grand-mère qui doit se retourner dans sa tombe!