Sa surprise fût totale quand une fois stationné, en tentant de verrouiller son véhicule, il aurait été plaqué contre son motorisé. S’en est suivi une altercation où deux autres agents de contrôle routier se sont joints aux deux autres, afin de lui passer les menottes. « Ils m’ont violemment plaqué au sol en prenant bien soins de me maintenir le visage par terre et de me faire mal » ajoute-t-il. Il semblerait que les agents qui ont le pouvoir, en tant qu’agent de la paix, de procéder à des arrestations, le soupçonnaient de conduite avec les facultés affaiblies. C’est à ce moment que les agents de la Régie Internunicipale de police Richelieu-St-Laurent sont arrivés sur les lieux afin d’enlever les menottes à M. St-Louis et de lui faire passer le test d’ivressomètre. Ce dernier s’est révélé totalement négatif.
M. St-Louis a finalement été relâché. Il s’est rendu au Centre hospitalier du Haut-Richelieu. « J’ai une côte enfoncée » a affirmé celui qui a porté plainte pour voies de fait auprès de la Régie intermunicipale contre les quatre agents de contrôle routier. Vendredi, M. St-Louis préparait sa plainte en déontologie policière contre les quantres hommes qui, à titre d’agents de la paix, sont soumis aux mêmes règles d’éthique que tout autre corps policier.
Contrôle routier Québec est une agence qui fait partie de la Société de l'assurance automobile du Québec. Cette agence s'occupe particulièrement de l'application des lois et des règlements qui touchent l'industrie du transport de personnes et des biens.
mardi, 07 décembre 2010 00:00
Un Chamblyen porte plainte contre des agents du contrôle routier
Raymond St-Louis, un citoyen de Chambly, affirme avoir été victime de brutalité de la part d’agents de contrôle routier, mercredi soir à Chambly. L’événement qui se serait déroulé à 20 h 10 sur la rue Martel a tourné au cauchemar pour ce conducteur de motorisé qui s’apprêtait à se stationner.
« Je passais tranquillement à côté d’eux quand ils m’ont dit, par la fenêtre, que j’avais une lumière de brûlée. Je croyais qu’ils étaient des ambulanciers qui m’avisaient par courtoisie. Je leur ai répondu merci en leur disant que je devais la faire changer le lendemain » affirme M. St-Louis.
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