Le député de Chambly a souligné au ministre des Transports que les coûts d’un refus du projet pourraient être très élevés. « Si le terminal est à Brossard, les gens de Chambly, Carignan, Saint-Jean-sur-Richelieu et Marieville se rendront fort probablement au terminal en voiture, ce qui créera un achalandage important sur l’autoroute 10. S’il faut élargir la 10 parce qu’on ne prolonge pas le REM, on ne sera pas plus avancés!», a souligné le député.
Le député a également fait remarquer au ministre que l’importance de la croissance démographique de la région rendrait le projet inévitable. « Le ministre des Transports Laurent Lessard a lui-même reconnu, du bout des lèvres, que l’important développement de la région nécessiterait probablement, à terme, un tel prolongement » a indiqué M. Roberge.
Le 22 septembre 2016, les maires de Villes de Chambly, Denis Lavoie et Saint-Jean-sur-Richelieu, Michel Fecteau, ont posé un premier geste afin de convaincre les autorités que le projet de réseau électrique métropolitain de transport de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) se rende jusqu’à Chambly à l’angle des autoroutes 10 et 35. Ils avaient alors déposé conjointement un mémoire au Bureau d’audience publique sur l’environnement (BAPE).