Elles ont comme objectif de sensibiliser la population à la pauvreté encore vécue majoritairement par les femmes.
Une grande marche nationale devait se tenir en date du 17 octobre 2020, soit 25 ans suivant la première Marche des femmes, mais la pandémie en cours nécessite une adaptation face aux actions envisagées.
La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) en lien avec les actions de la Coordination québécoise de la marche mondiale des femmes (CQMMF) poursuivront leurs actions entourant la 5e marche des femmes jusqu’au 17 octobre 2021 autour des enjeux suivants : la violence faite aux femmes; les réalités des femmes immigrantes, migrantes et racisées, la justice climatique.
« Sous réserve de la juridiction du gouvernement du Québec et de modalités de mise en œuvre, nous croyons que, dès le lendemain de la pandémie, un déploiement soutenu est nécessaire, en particulier en matière de lutte à la pauvreté, de conciliation entre travail et famille, de logement social, de femmes autochtones, de santé mentale et d’égalité dans le traitement au travail. », souligne Yves-François Blanchet.
Texte de Mathieu Tye
