Il faut tenter de s’abstenir de tout commentaires négatifs contre l’autre parent devant les enfants. L’enfant aime ses deux parents et n’a rien à faire des récriminations que les parents peuvent avoir l’un envers l’autre, même si les ententes «légales» ne sont pas respectées ou vos opinions brimés. Ni les policiers, ni les juges n’apporteront de solutions définitives à des relations parentales handicapées. C’est le devoir du parent de se prendre en charge pour le bénéfice de ses enfants, en s’outillant pour l’avenir.
Nathalie Belley, avocate
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mercredi, 20 décembre 2006 19:00
Séparation, enfants et Noël
La période des Fêtes suscite du stress en raison du partage du temps avec les enfants suite à une séparation. La meilleure entente n’empêche par un parent d’arriver en retard, de ne pas prendre les enfants alors qu’il était supposé de le faire ou ne vous protége pas contre le fait de vivre un sentiment d’impuissance ou de colère dans une situation donnée. Dans tout les cas, ce sont toujours les enfants qui sont affectés par le climat d’instabilité parentale. Certains parents peuvent bien vouloir faire appel aux policiers, saisir le tribunal d’une requête pour condamner le parent délinquant en outrage au tribunal, il n’en demeure par moins que dans tout les cas, les premières victimes de ces démarches improvisées sont les enfants; que le parent cherche ironiquement à protéger. Le lâcher-prise est la meilleure attitude à adopter.
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