Malgré la grande charge de travail qui vient de s’ajouter à celle de député, M. Dubé se dit très chanceux de pouvoir compter sur l’aide de sa belle fille de 9 ans, Lydia, qui est la fille de sa conjointe Chantale.
« Avoir une grande soeur de 9 ans pour ma fille, c’est un appui extraordinaire. Quand on a de jeunes enfants, on en a plein les bras, mais quand on peut avoir un coup de main à la maison c’est super agréable et ça permet de respirer un peu », expliquait-il en entrevue.
« On comprend les sacrifices que les parents sont prêts à faire. C’est impressionnant de voir comment les petites choses qui peuvent être stressantes dans la vie le sont moins quand la priorité c’est que notre enfant soit bien et en santé. Ça remet les choses en perspective quand en tant qu’humain, on est prêt à tout sacrifier pour le bien être et le bonheur de notre enfant. »
C’est le 23 juillet dernier qu’est née la petite Danielle, le premier enfant du député de 31 ans qui se dit heureux d’avoir la possibilité de trouver un équilibre entre sa vie de député et de père de famille.
« Ce n’est jamais facile de concilier les deux, j’en conviens, mais dans mon cas avec le rajeunissement de la députation et la présence plus grande des femmes en politique, on a remis la conciliation travail-famille au centre du débat public et les marques en sont bien visibles. », a-t-il expliqué en entrevue.
Dans les cadres de la campagne qui s’en vient et de son travail de député, M. Dubé reste sûr que le fait d’être père ne le détournera pas de ses préoccupations de député.
« Il y a toujours des imprévus quand il y a des enfants, mais moi je m’engage à 110 % dans la campagne. Ma présence, mes efforts et ma rigueur appliquée seront la même que si je n’en avais pas eu. Ça posera certains défis, comme une fatigue additionnelle, mais il n’y aura aucune baisse de régime ça c’est certain. », a-t-il affirmé en entrevue.
Matthew Dubé se dit aussi très heureux de tous les messages d’amour qu’il a reçu depuis qu’il a publiquement annoncé la naissance de sa fille et tenait du même coup à remercier les citoyens de sa circonscription.
« Dans n’importe quel métier, quand on a un bon patron qui nous permet de concilier la vie de travail et la famille, ça aide beaucoup. Dans mon cas, j’ai de maudits bons patrons, c’est-à-dire les citoyens de ma circonscription, qui me permettent de jongler entre mon travail de député et mes obligations familiales. J’en suis très reconnaissant. »