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Sudoku

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Anne le Seigneur, une fille du roi et Jean Besset dit Brisetout, un colon célibataire du régiment de Carignan-Salières se sont épousés en 1668 au fort Saint-Louis (Chambly). Ils ont élévé dix enfants sur leur terre de la côte du Huron dans l’actuel Saint-Mathias. Alfred Bessette, dit le frère André, est né en 1845; il est leur descendant en septième génération. Né à Saint-Grégoire d’Iberville dans un milieu très pauvre, Alfred Bessette fréquente très peu l’école: il apprend à lire mais ne sait pas écrire.

Avant de vous parler de bon chocolat à manger à Pâques, il importe de répondre à la question suivante :  Pourquoi on trouve autant de chocolat en forme de lapins et d’œufs à Pâques ? La fête de Pâques coïncide avec plusieurs fêtes païennes qui célébraient la renaissance du printemps et le lapin fut associé à Pâques parce qu’il est symbole de vie, de fertilité et représente la victoire de l’amour. Quant aux œufs, ils ont presque toujours été liés à la symbolique de la renaissance. C’est cependant en Allemagne où l’on a associé pour la première fois le lapin et les œufs pour Pâques, on croyait que le lapin remplirait les nids d’œufs multicolores.

C’est le 13 mars 2001 que fut créée officiellement la fondation «J’ai faim à tous les jours». En 2000, elle n’était qu’un projet, mais suite à l’association du Centre de bénévolat Rive-Sud et du Club de l’âge d’or, alors présidé par Monsieur Serge Allaire, la fondation «J’ai faim à tous les jours» a tout de suite connu un immense succès. En effet, la fondation est devenue essentielle pour notre région. 

Des noms de rues qui cachent une histoire

mercredi, 16 mars 2005 19:00

Clémence Sabaté (1791-1868) naît en 1791. Elle demeure célibataire toute sa vie. C’est à sa mort, en 1868, qu’elle marque l’histoire en léguant ses bâtiments, soit sa maison et sa ferme, à des œuvres de charité. Son héritage contribuera à la construction de l’hospice Saint-Joseph de Chambly par les Sœurs Grises.  C’est à la demande du curé Pierre-Marie Mignault qu’est construit cet hospice alors nommé l’Hôpital de Chambly-Bassin. Cet édifice abrite des orphelins et des personnes âgées et sert d’infirmerie. L’hospice est agrandi en 1917 pour y intégrer des classes et des dortoirs. Le bâtiment est détruit en 1965 mais à son emplacement se trouvent toujours des personnes âgées puisque s’y élève la Résidence Saint-Joseph.

La mélasse de nos grands-parents !

mardi, 15 mars 2005 19:00
À une époque la mélasse était considérée comme le « sucre de l’habitant », c’est-à-dire du pauvre ; la mélasse fournissait aux coureurs des bois, aux bûcherons et aux ouvriers les calories dont ils avaient besoin pour leurs dures journées de labeur. La mélasse fait donc partie de notre alimentation depuis des siècles. Aujourd’hui, les enfants raffolent des biscuits à la mélasse, par exemple Pattes d’ours de la compagnie Dare qui produit environ 1,5 millions de biscuits par semaine.

Sensibles à l’avenir de l’environnement, les membres du conseil municipal de Chambly ont accepté de travailler en partenariat avec Nature-Action Québec, Action-Environnement et Environnement Canada dans le cadre du projet Défi d’une tonne afin de sensibiliser nos citoyens à l’importance de diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre.

Serge Caron: Une vie enflammée!

dimanche, 13 mars 2005 19:00

Il y a quarante ans, c’est en prenant ses jambes à son cou que Serge Caron quittait sa maison de la rue Bourgogne, pour se rendre à la caserne.  À cette époque, alors qu’il n’avait que 18 ans, il réalisait ainsi un grand rêve: celui d’être pompier.  Après s’être fait dire qu’il était trop petit pour combattre les incendies de la grande ville de Montréal, c’est en novembre 1964, à Chambly, qu’il devient pompier à temps partiel, poste qu’il occupera pendant douze ans.  Le 13 décembre 1976, il fut engagé à temps plein pour la ville, à titre d’inspecteur en prévention et d’adjoint de l’inspecteur municipal. 

Êtes-vous dans les patates ?

mardi, 08 mars 2005 19:00

On doit la découverte de la pomme de terre à Sir Francis Blake en 1586. À l’époque, on l’appelait la « batata ». Aujourd’hui, au Canada plus d’une centaine de variétés de pommes de terres sont vendues ayant chacune des saveurs différentes dépendamment du mode de cuisson. Qui ne connaît pas la pomme de terre blanche !