Régression de la rage du raton

mardi, 10 février 2009 19:00

Le nombre de cas de rage de la souche du raton laveur a diminué de moitié l’an dernier au Québec, passant de 66 cas en 2007 à 32 l’an dernier. Dans le secteur Saint-Jean-sur-Richelieu, aucun cas de rage n’a été constaté en 2008. Il y en avait eu sept il y a deux ans, dont un non loin des limites de la ville de Carignan. Le cas le plus près de nous pour l’an dernier a été remarqué à Saint-Césaire. On note d’ailleurs que les cas de rage dans la région ont été signalés plus à l’est l’an dernier, notamment dans les secteurs Farnham et Ange-Gardien. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune a fait répandre près d'un million d'appâts vaccinaux en Montérégie et en Estrie l’été dernier pour contrer la rage du raton.

Cinq cents élèves de l’école secondaire de Chambly ont apposé leur main sur une pétition contre l’utilisation d’enfants soldats dans le monde. C’est le Comité Amnistie de l’école secondaire qui organisait le tout. Le comité participe activement à la campagne « Mains rouges », qui vise à sensibiliser sur l’utilisation d’enfants soldats dans les conflits en Afrique, en Amérique du sud et en Asie. Cette campagne s’inscrit dans le cadre des activités de la journée internationale « Red Hand Day », qui incarne une prise de conscience de l’opinion publique mondiale sur le phénomène des enfants soldats ainsi que sur différents enjeux dont la violation des droits économiques, sociaux et culturels. Les membres du Comité Amnistie de l'école ont ainsi apporté une contribution importante à cette campagne d'envergure internationale en acheminant la pétition au Secrétaire général des Nations Unies à New York. La pétition paraîtra sur le site www.redhandday.org. Mentionnons que Red Hand Day souhaite attirer l’attention mondiale sur la misère des enfants dans la guerre au travers de protestations publiques, manifestations et autres activités. Partout dans le monde, des organisations se servent du symbole de la main rouge pour dire non au recrutement et à l'utilisation d’enfants soldats.

Hockey sur l’eau

mardi, 10 février 2009 19:00

Le Championnat de hockey d’antan Place au sport, qui se déroulait le week-end dernier sur la Canal de Chambly à Saint-Jean-sur-Richelieu, a été interrompu, dimanche, en raison d’une température trop chaude. « C’était bien parti. Les 72 équipes se sont présentées samedi. Mais il a plu toute la nuit de samedi à dimanche. Dimanche matin il y avait un pouce d’eau sur la glace. On a asséché quelques glaces et on a joué les huitièmes de finales compétitives. Mais la glace s’est vite détériorée », a commenté hier un porte-parole du tournoi. Tous les matchs du dimanche, à l'exception de la catégorie compétitive, ont donc été annulés. Quant aux quarts de finales, aux demi-finales et à la finale de la catégorie compétitive, ils ont été reportés. Les huit équipes restantes, dont les champions de l’année dernière, devront donc revenir sur le Canal de Chambly le samedi 21 février prochain à midi pour terminer le tournoi. Mentionnons par ailleurs que les champions de l’an dernier sont passés à un cheveu de remporter le titre de champions canadiens les 23, 24 et 25 janvier dernier, au Canadian National Pond Hockey Championship, à Muskoka, Ontario.

Divergences à la MRC

mardi, 10 février 2009 19:00

S’il faut en croire le maire Michel Marchand, Marieville paye trop chère sa contribution au sein de la MRC de Rouville, d’autant plus que la ville ne dispose que d’un seul vote sur huit au conseil d’administration. Exagération ou injustice ?
Le maire de Marieville Michel Marchand souhaite une refonte en profondeur du système de tarification et des règles de fonctionnement à la municipalité régionale de comté (MRC) de Rouville. Le maire mentionne que Marieville défraie entre 30 et 40 % du budget total de la MRC selon les champs d’action, et que la situation pourrait finir par hypothéquer les effets bénéfiques du développement économique de la municipalité. Le maire explique qu’avec l’augmentation constante des quotes-parts de la ville et la diminution de son poids décisionnel suite à la fusion avec Sainte-Marie-de-Monnoir, Marieville ne peut plus se permettre d’être « la vache à lait de la MRC ». Un argumentaire que n’approuve pas le maire de Richelieu, Jacques Ladouceur, qui souligne que Richelieu paye au même prorata que Marieville dans la MRC. « Quand il parle de 40 %, c’est pour la piste cyclable. Mais les autres quotes-parts, c’est du 25 ou 26 % à Marieville », a indiqué M. Ladouceur hier, qui a également commenté le problème de représentativité amené par M. Marchand.

Les citoyens de Richelieu pourraient rouler sur le nouveau viaduc de la Savane dès vendredi prochain, 13 février, si les conditions climatiques sont favorables. Selon ce que nous a rapporté une porte-parole de Transports Québec hier, la nouvelle structure sera disponible bientôt, près d’un an après la démolition de l’ancienne. Comme le Chambly Matin l’a indiqué dernièrement, il faudra toutefois attendre plusieurs mois avant de retrouver une circulation normale dans le secteur. « Des travaux d’asphaltage seront effectués au printemps prochain. » On peut donc s’attendre à des entraves jusqu’en fin juin dans le secteur. Transports Québec tiendra les usagers au courant des entraves qui prendront place. Pour toute demande d’information sur l’état général des routes, vous pouvez composer le 511 pour avoir accès au nouveau service d’information du ministère des Transports.

Des employés de Parcs Canada s’affèrent depuis vendredi à abattre quatre arbres qui menaçaient de s’effondrer sur le site historique national du Fort-Chambly. Ces arbres ont été endommagés et fragilisés lors d’une micro-rafale en juin dernier. Lors de cette journée, le site du Fort-Chambly, comme plusieurs autres endroits en Montérégie, avait subi des dommages importants. « On avait perdu dix arbres lors de la micro-rafale. Ces arbres étaient carrément tombés. Plus tard, on a remarqué que de gros peupliers et des érables avaient aussi été partiellement déracinés par la mini-tornade. On n’avait pas le choix. Certains arbres penchaient dangereusement. On les a identifiés et la coupe a commencé vendredi », a indiqué hier un porte-parole de Parcs Canada. « On a pris une action pour rendre le site du Fort-Chambly plus sécuritaire. C’est dans cette optique que nous sommes là. On remplacera ces arbres éventuellement », a pour sa part mentionné hier Michel Caron, contremaître pour Parcs Canada. Mentionnons que le bois récupéré par la coupe de ces arbres sera réutilisé sur le site du Fort-Chambly et sur celui du Canal-de-Chambly. Le site historique national du Fort-Chambly compte plusieurs espèces d’arbres dont l’érable, le frêne, le peuplier et certains conifères.

Après avoir vaincu les flammes qui ont ravagé une résidence durant de longues heures jeudi, les pompiers de Marieville ont dû engager un autre combat, peu après, alors que près de 200 veaux de grains ont péri dans l’incendie de deux bâtiments agricoles.
Après avoir combattu le feu durant une bonne partie de la nuit et toute la matinée de jeudi et avoir constater la perte totale de la résidence centenaire de la rue Franchère, les pompiers de Marieville n’ont eu que deux heures de repos avant que l’alarme ne sonne à nouveau, en milieu d’après-midi. « On a commencé à combattre le premier feu à 2h22 du matin. L’incendie était pris entre les deux toits. On a dû sécuriser les lieux avec une pelle mécanique et évacuer le bâtiment d’à côté. Mes hommes ont quitté l’endroit peu après midi (…) À 15h44, on a été appelés pour un autre incendie sur la route 227. Deux bâtiments agricoles qui abritaient des animaux étaient en feu. Les gens voyaient l’incendie de très loin, de l’autoroute 10. Encore une fois, l’incendie était généralisé quand on est arrivé », a indiqué hier Robert Dubuc, directeur du service incendie de Marieville.

Incendie et perte totale à Marieville

jeudi, 05 février 2009 19:00

Un incendie majeur s’est déclaré dans une petite résidence de Marieville, dans la nuit de mercredi à hier. Le feu a tenu les pompiers du service de prévention des incendies de Marieville en halène durant un bon moment, eux qui ont dû faire face à un bâtiment déjà considérablement embrasé lors de leur arrivée. Il semble que les flammes aient pris naissance dans la résidence vers 2h30. Heureusement, personne ne se trouvait à l’intérieur; le propriétaire et son fils n’y étaient pas. Puisque le feu faisait rage à l’arrivée des pompiers, il était déjà trop tard pour tenter de limiter les dégâts. Le bâtiment est une perte totale. Personne n’a été blessé durant l’incident. Les autorités ignorent pour le moment la cause du sinistre.