Cette pratique comporte plusieurs avantages. D’abord, elle permet de réduire son empreinte écologique en participant à la diminution des gaz à effets de serre en limitant le kilométrage que les aliments parcourent avant de se retrouver dans votre assiette. Aussi, elle permet de savoir ce que l’on mange. Souvent, les locavores se procurent des aliments des fermes environnantes par le biais de la livraison de panier à la maison (que ce soit pour les fruits et légumes comme pour la viande). Les produits sont généralement sains, biologiques et de meilleur goût. Les épiceries qui font directement affaire avec les fermes, les marchés publics et les jardins communautaires permettent aussi de pratiquer cette philosophie de consommation.
Cherchez également le logo « Aliments du Québec ». Ce logo peut être apposé sur les aliments qui sont entièrement produits au Québec ou dont les principaux ingrédients sont d’origine québécoise et pour lequel toutes les activités de transformation et d’emballage ont été réalisées au Québec.
Cette tendance est désormais bien implantée sur notre territoire. Même si les gens ne se décrivent pas comme des locavores, de nombreuses initiatives pour manger localement sont prises par un nombre grandissant de consommateurs. Est-ce que cette tendance continuera de s’imposer? Il y a de fortes chances que oui. Au fond, quels sont les désavantages?