Chambly_matin
 

Alors que le décrochage scolaire est en hausse depuis huit ans en Montérégie, la situation est particulièrement problématique dans la région de Chambly-Carignan, où de trois à quatre étudiants sur dix décrochent de l’école secondaire.
Selon les statistiques les plus récentes rendues publiques lundi par la Commission scolaire des Patriotes, le taux de décrochage scolaire oscille entre 30 et 40 % dans le secteur Chambly/Carignan, soit davantage que la moyenne régionale de 29 % et bien plus que la moyenne de 22 % au sein de la CSP. Lundi matin, quatre délégations de la commission scolaire effectuaient une tournée dans les écoles secondaires à l’occasion de la Journée de la persévérance. Les rencontres dans les onze établissements, dont l’école secondaire de Chambly, avaient pour objectif d’encourager les élèves à persévérer et à réussir à l’école. « Nous voulons que les jeunes aient un aperçu de l’ampleur des efforts investis pour qu’ils poursuivent et réussissent leurs études. Les membres du personnel des services éducatifs jouent un rôle déterminant dans la lutte contre le décrochage.

Un spectacle tout en hauteur

lundi, 16 février 2009 19:00

Le camp de planche à neige Shakedown débarquera à Ski Mont Saint-Bruno du 2 au 5 mars prochains. Ouvert aux planchistes de tous âges et de tous niveaux, le Shakedown est une expérience de planche à neige unique au Québec. Le camp complètera sa grande tournée québécoise en offrant aux amateurs de la région la chance de développer leurs aptitudes auprès d’athlètes professionnels. Pour l’événement, l’équipe du Shakedown mettra sur pieds ses propres installations dans une zone réservée. Les campeurs auront ainsi un secteur bien à eux et sécuritaire pour se divertir et démontrer leur talent de planchiste dans un parc privé, hautement sécuritaire et adapté à leurs défis. L’équipe de professionnels derrière le Shakedown créera une ambiance détendue, mettant le développement et la confiance des jeunes au premier plan. « Notre camp s’adresse à tous les riders qui souhaitent développer leurs capacités et atteindre un niveau supérieur en snowboard. Ce qu’on vise, c’est de faire progresser rapidement les participants tout en leur inculquant des réflexes sécuritaires », souligne Patryck Bernier, organisateur du camp Shakedown.

Le député de Chambly Bertrand St-Arnaud croit qu’un moratoire sur l’utilisation du pistolet électrique Taser permettrait d’établir des règles strictes quant à son utilisation et de s'assurer que les policiers reçoivent une formation adéquate à cet effet. Réagissant à la nouvelle politique dévoilée jeudi par la GRC pour une utilisation plus stricte et encadrée du Taser, le député de Chambly se demande si le ministre de la Sécurité publique, Jacques Dupuis, prendra le temps de lire cette nouvelle politique étant donné son refus de mettre en place un moratoire. « Plusieurs décès sont survenus et maintenant la GRC reconnaît les dangers mortels de cette arme. Qu'attend le ministre Dupuis pour agir ? », se demande Bertrand St-Arnaud. Depuis quelques mois, l’opposition officielle réclame des mesures concrètes sur l’utilisation du Taser à l’Assemblée nationale.

Aux 18 à 35 ans de prendre leur place

lundi, 16 février 2009 19:00

Le Forum jeunesse Montérégie Est (FJME) a lancé jeudi dernier la troisième édition du concours Je prends ma place, dont l’objectif est de valoriser, promouvoir et récompenser l’engagement bénévole des 18 à 35 ans. Le concours salue l’audace des jeunes impliqués, leur talent, leur créativité et leur détermination dans leur engagement bénévole. Cette année encore, au terme du concours, les lauréats provenant des différentes régions du Québec profiteront d’un séjour exploratoire d’environ une semaine en France, au cours duquel ils rencontreront de jeunes Français engagés comme eux dans leur communauté. Annie Patenaude a été la Personnalité Montérégie Est du concours l’an dernier. En cinq ans, elle a amassé plus de 160 000 $ avec une équipe de 50 artisans. Pour elle, remporter le concours a été une expérience enrichissante et stimulante. « Nous avons eu la chance de faire de nouvelles découvertes et de vivre des échanges inspirants (…) Ce fut une chance inouïe de rencontrer d’autres jeunes idéalistes comme nous, motivés à faire bouger les choses. »

Les fêtes du 400e anniversaire du passage de Samuel de Champlain sur la rivière Richelieu seront plus locales que prévues. Mis à part le projet de promenade historique à Richelieu (voir autre texte), aucun financement n'a été octroyé de la part des gouvernements provincial et fédéral pour les célébrations des fêtes. Selon Julie Hamel, coordonatrice Tourisme au Centre local de développement de La Vallée-du-Richelieu, « les gouvernements voulaient offrir des subventions pour du structurant, alors que les projets présentés étaient davantage festifs », un argument qu’a partagé le maire de Richelieu, Jacques Ladouceur, hier. « Le projet (de la promenade) coïncidait avec les exigences du 400e. Les autres projets étaient plus des festivités. Le ministre responsable de la Montérégie, M. Fournier, voulait du concret, quelque chose qui perdurerait dans le temps. » Ce sera vraisemblablement aux villes et aux écoles de prendre en charges les activités. La possibilité que les municipalités obtiennent des subventions existe, mais celles-ci devront faire leur propre demande. La corporation des fêtes de Champlain, qui avait été formé avec la Conférence régionale des élus (CRÉ), a été dissoute l’été dernier.

Le seul projet retenu par le ministère des Affaires municipales du Québec dans le cadre des célébrations des Fêtes de Champlain 2009, la promenade historique de Richelieu, est en péril. Mais l’espoir réside toujours, malgré un montant de 600 000 $ à combler.
Le maire de Richelieu Jacques Ladouceur rencontrera le chef de cabinet de la ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau vendredi pour tenter d’obtenir un nouvel appui pour le projet de promenade historique à Richelieu. C’est qu’une différence de 600 000 $ sépare toujours le plus bas soumissionnaire, qui a prolongé son offre pour six mois en fin novembre dernier, et le montant total que la Ville dispose pour la promenade. « Le projet est retardé complètement. On court à gauche et à droite pour avoir des subventions. Avec toutes les études, on est rendu à 2,4 M$ au total. On estimait plutôt le projet à 1,8 M$. Il va falloir discuter fort. Ce ne sera pas évident dans le contexte dans la crise économique actuelle. Si ça ne marche pas, le projet risque de tomber à l’eau », a déclaré le maire Ladouceur hier en entrevue téléphonique. Le maire croit toujours au projet, toutefois.

Je sais messieurs, la Saint-Valentin est une fête commerciale. C’est la fête des filles. La fête des émotions. La fête des petits cadeaux superficiels. En fait, elle fait carrément scier, cette fête. Mais aujourd’hui, j’ai envie d’aborder le sujet avec un peu d’humour. À vous tous, messieurs en couple, et particulièrement les jeunes hommes, j’ai un petit conseil à partager : commencez donc au bas de l’échelle. La première année, ne vous brûlez pas ! Comprenez que si vous décidez d’offrir un cadeau de 100 $ à votre blonde en partant, attention, vous ne pourrez plus revenir en arrière au cours des prochaines années. Vous ne pourrez pas offrir de cadeau à 25 $ l’année suivante sans que votre blonde soit un peu déçue (même si elle ne l’avouera pas). Allez-y dans la simplicité. Une lettre écrite de votre main à son intention, quelques mots doux et des roses, de l’attention et de l’affection. Pas besoin de donner raison à tous ces commerçants qui nous vendent la Saint-Valentin dans un paquet cadeau rose nanane sucé longtemps. Pas besoin de dépenser une fortune dans le plus chic des restos. Pas de toutous. Un peu de romantisme, c’est tout.

Neuf cents sourires aux Plaisirs d’hiver

jeudi, 12 février 2009 19:00

Près de 900 personnes ont profité des activités offertes par le Service loisirs et culture de la Ville de Chambly, samedi dernier à la patinoire du canal de Chambly et au parc des Ateliers. Pour l’occasion, ballon-balais, hockey sur glace, zones de jeux, trottinettes des neiges et structures gonflables étaient au menu. Tous ont eu la chance d’assister aux démonstrations de voiles à tractions et de « street surfing ». Les participants ont également pu se régaler avec du chocolat chaud et participer au concours de châteaux de neige. D’une longueur de 400 mètres entre le pont de l’avenue Bourgogne et l’écluse no 4, la patinoire du canal de Chambly est gérée par Les amis du canal de Chambly, qui accueille les patineurs et hockeyeurs. Une roulotte, installée en bordure du canal, permet aux usagers d’y chausser leurs patins.