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Alors que leur convention collective a pris fin il y a plus de trois ans, les policiers et policières de Saint-Jean-sur-Richelieu portent casquettes et tuques aux couleurs de leur syndicat depuis environ une semaine afin d'exprimer leur exaspération et leur mécontentement à l'égard de leur employeur. « Nous sommes sans contrat de travail depuis trois ans, les négociations sont extrêmement lentes en raison du comportement de la Ville. Nos membres sont exaspérés de cette situation », a déclaré cette semaine le président de la Fraternité des policiers et policières de Saint-Jean, Éric Lebeau. Selon ce dernier, la Ville a déposé quatre cahiers contenant un nombre impressionnant de demandes patronales. Elle a aussi changé fréquemment ses représentants à la table de négociation, ce qui a retardé le processus. Hier, M. Lebeau a indiqué que les négociations ne bloquaient pas sur un point de la convention en particulier, mais dans son ensemble. « Présentement, il ne se passe rien. On en est venu à la conclusion que l’employeur ne voulait pas négocier. C’est pourquoi on porte les tuques et les casquettes. »

Les élèves de troisième secondaire de l’école secondaire de Chambly ont remis le vendredi 5 décembre dernier la somme de 600 $ à M. Antonio Dilalla pour la scolarisation d’enfants haïtiens. M. Dilalla, un enseignant à la retraite, avait rencontré les adolescents en octobre dernier et leur avait montré à l’aide d’un diaporama les conditions d’éducation à Haïti. Stupéfaits d’apprendre qu’il n’en coûte que 150 $ pour scolariser un enfant pendant un an à Haïti (costume et repas compris), les élèves de troisième secondaire n’ont pas tardé à réagir en amassant quatre fois cette somme au cours des semaines suivantes. Chaque année, dans le cadre du projet Action Haïti, Antonio Dilalla rejoint pendant quelques mois son équipe de coopérants qui œuvrent bénévolement dans un petit village isolé, perché en montagne à trois heures de marche de Grande Goâve. Strictement à l’aide de quelques dons en argent, ces généreux coopérants, aidés de la population locale, sont parvenus à construire une école pour les enfants et plusieurs habitations pour les familles les plus démunies. Soulignons qu’à peine plus d’un enfant sur deux est scolarisé au primaire en Haïti, alors que seulement un sur cinq l’est au secondaire.

Une semaine après la violation de domicile sanglante de Hemmingford, on se souvient encore du meurtre crapuleux de Pearl Rushford-Lamarre, 81 ans, dans sa résidence de Chambly il y a près de dix ans. L’invasion de domicile : un phénomène marginal ?
Alors qu’aux dernières nouvelles les enquêteurs recherchaient toujours les intrus d’Hemmingford, les questions abondent concernant le phénomène des invasions de domicile. Qui sont ces intrus ? Est-ce uniquement l’affaire de voyous ? Sommes-nous à risque ? Selon le ministère de la Sécurité publique, les introductions par effraction résidentielles violentes demeurent peu nombreuses et ne représentent que 2 % de toutes les introductions par effraction enregistrées au Québec annuellement. Fait à noter toutefois, ce type de crime est en constante hausse depuis plusieurs années au Québec (636 en 1997 ; 1 291 en 2006). Que se soient les vols qualifiés résidentiels ou les introductions par effraction violentes, le constat demeure le même : les invasions de domicile se concentrent principalement dans la région la plus urbaine de la province et les environs.

Après avoir chuté de 1,2 % entre 2006 et 2007, le taux de chômage a rebondi en Montérégie en 2008, s’établissant à 6,6 %. Fait à noter, on retrouvait quelque 4 800 chômeurs de plus à la fin de l’année 2008 en Montérégie que douze mois auparavant. Le taux d’activité est toutefois demeuré stable l’an dernier, passant de 67,2 % à 67,3 %. Sur l’ensemble du Québec, la région ne fait pas si mal en se pointant au cinquième rang des plus bas taux de chômage en 2008. Ainsi, si la Capitale-Nationale domine le classement avec un taux de chômage de 4,6 %, les régions de Chaudière-Appalaches, l’Outaouais et l’Estrie ont également mieux fait que la Montérégie en s’établissant sous la barre des 6 %. Malgré l’augmentation du taux de chômage, le nombre d’emplois est passé de 709 000 à près de 718 000 dans la région au cours de l’année 2008. Si cette augmentation n'a pas permis d'intégrer tous les nouveaux chercheurs d'emploi, semble-t-il qu’il n’y ait rien de trop alarmant toutefois pour les chercheurs d’emplois puisque, selon des économistes, de 87 000 à 88 000 personnes pourraient quitter le marché du travail pour la retraite en Montérégie d’ici 2012.

À deux, c’est mieux

lundi, 19 janvier 2009 19:00

Parmi les quatre villes du bassin de Chambly, c’est à Carignan que l’on retrouve la plus forte proportion de personnes appartenant à un ménage ayant un revenu annuel brut supérieur à 100 000 $. Cette réalité s’expliquerait par le fait que plus de 95 % des résidents de Carignan vivent dans un ménage comptant plus d’un adulte, alors que cette proportion frôle les 90 % dans l’ensemble du bassin. Selon l’enquête sur les enjeux locaux réalisée en septembre 2008 par Statistique Canada pour la Chambre de commerce et d’industrie du bassin de Chambly (CCIBC), un quart des résidents du bassin vivent dans un ménage ayant un revenu total brut se situant entre 75 000 $ et 99 999 $, la plus forte proportion parmi les différents groupes de revenus observés. Si cette proportion frôle les 30 % à Chambly, Richelieu et Saint-Mathias, elle n’est toutefois que de 11,3 % à Carignan. Par ailleurs, pour l’ensemble du bassin de Chambly, 6,8 % des résidents appartiennent à un ménage ayant un revenu annuel brut inférieur à 25 000 $. Pour le secteur de Richelieu/St-Mathias, cette proportion est de 16,1 %.

Place aux plaisirs d’hiver !

lundi, 19 janvier 2009 19:00

Hockey d’antan, raquette, glissade, promenade en calèche, rallye, musique et jeux participatifs; Vaut mieux attacher sa tuque car il y en aura pour tous les goûts dans la région jusqu’au 22 février.
L’événement le plus attendu est sans doute le Championnat québécois de hockey d’antan Place au sport, qui se déroulera du 6 au 8 février prochains sur le canal de Chambly à Saint-Jean-sur-Richelieu. Le championnat réunira 64 équipes de cinq joueurs dans trois catégories – amicale, participative et compétitive. Cet événement sportif majeur, qui réunira les meilleures équipes de hockey extérieur au Québec, permettra de désigner les nouveaux Champions québécois de hockey d’antan. L’activité permettra à tous de profiter de l’hiver et de se réapproprier notre sport national. Pour cette troisième édition, une attention particulière sera accordée à l'aménagement des installations et à l'accueil des visiteurs, dont le nombre augmente d'année en année.

Je ne suis pas de ceux qui sont prêts à échanger n’importe quel joueur du Canadien pour Vincent Lecavalier. Après avoir rebâti l’équipe de A à Z après l’ère sinistre de Réjean Houle, après avoir si bien repêché durant des années et maintenant que le Tricolore arrive enfin à récolter les fruits semés par André Savard, Bob Gainey et Trevor Timmins, ce serait fort malhabile que de tout balancer par la fenêtre pour un joueur. On l’a vu avec les Sénateurs d’Ottawa : une équipe ne gagne pas avec un seul trio. Pour se rendre jusqu’au bout, elle a besoin de Maxim Lapierre et de Tom Kostopoulos pour imposer le rythme. Elle a besoin de deux bonnes paires de défenseurs. Mais surtout, elle a besoin d’un gardien de but. Un gardien qui effectuera LE gros arrêt lorsqu’on se retrouvera en prolongation d’une partie de séries éliminatoires.  Lecavalier à Montréal ? Si le Lightning de Tampa Bay demandait Andrei Markov, Carey Price ou Mike Komisarek (le futur capitaine de la Flanelle), je me garderais une gêne. Si toutefois on parle d’un joli paquet incluant des Tomas Plekanec, Chris Higgins, Josh Gorges et PK Subban, tels que mentionnés dans les rumeurs, je réponds oui tout de suite, même s’il s’agit de bons joueurs.

Agri-Vision, qui soutient la diffusion d’une information scientifique et technique de pointe sur des questions qui touchent les producteurs agricoles et les transformateurs, invite les producteurs agricoles de la région à participer à ses journées thématiques qui auront lieu d’ici la fin du mois de janvier. Pour marquer ses 15 ans d’existence, Agri-Vision propose aux acteurs de la scène bioalimentaire de la Montérégie plusieurs nouveautés. Différents sujets seront traités qui auront trait à la relève et au transfert d’entreprise, à la transformation alimentaire, à la culture des légumes et des petits fruits ainsi qu’à l’acériculture. Des conférences portant sur l’économie, la production porcine, les bassins versants et les grandes cultures prendront aussi place. De nombreux invités de renom prendront part aux journées thématiques d’Agri-Vision. Experts et personnes-ressources mettant à profit une expérience confirmée dans leur domaine respectif donneront des conférences, tandis que des collaborateurs se chargeront de l’animation. L’activité se veut une sorte de forum au cours duquel producteurs agricoles et transformateurs peuvent discuter et partager leurs préoccupations.