Sudoku
Diane Legault, députée de Chambly
lundi, 11 avril 2005 20:00Chères concitoyennes, chers concitoyens,
Il ressort du Forum des générations que les changements démographiques à venir et l’assainissement des finances publiques nous incitent tous à re-questionner certains choix. Convenons que cet exercice est incontournable !
Claude Tremblay: Un changement pour le mieux!
dimanche, 10 avril 2005 20:00Monsieur Tremblay est propriétaire de la seule et unique rôtisserie à Chambly, Le Coq du Roi. Après avoir passé près de 20 ans au service d’Emploi Immigration Canada où il était chef de personnel, c’est en 1991 qu’il prit la grande décision de quitter son poste pour travailler à son compte.
Le 6 décembre plus précisément, le Coq que l’on connaît aujourd’hui a vu le jour. Plus jeune, monsieur Tremblay avait occupé ses étés en travaillant dans une rôtisserie. Cette précédente expérience unie à ses notions en administration, justifie la raison pour laquelle son choix s’est arrêté sur ce type de restauration.
Un meurtre en 1719
mercredi, 06 avril 2005 20:00En 1719, une vingtaine de familles ainsi qu’une cinquantaine de soldats sont établis dans la seigneurie de Chambly. Le 3 février, un serviteur noir du nom d’Antoine travaillant au moulin du sieur de Ramezay, se fait froidement assassiné par trois soldats. L’arrivée au fort de Chambly des officiers de justice chargés d’enquêter sur ce meurtre crapuleux crée tout un émoi dans la paisible seigneurie. Le procureur du Roy, Pierre Raimbault, est averti du meurtre le 4 février.
Les secrets de la baguette française
mardi, 05 avril 2005 20:00Le phénomène du pain de forme allongée n’est pas propre au Québec mais plutôt de la France. Il faut savoir qu’après la Seconde Guerre mondiale, la modernisation des méthodes de travail a permis d’offrir aux consommateurs français un pain blanc plus tendre et plus volumineux. Une fois sur le marché, cette denrée a beaucoup plu, et plaît encore beaucoup.
Avec la popularité que connaissait « la baguette française », les boulangers ont dû remettre en question leur procédé afin de conserver leur bonne vieille baguette faite avec des farines traditionnelles. D’ailleurs en 1993, le gouvernement français adopte un décret sur le pain dit « de tradition française », établissant des normes sévères de qualité et d’authenticité à propos des farines.
Gilles Renaud: Une vie de passe-temps et passion!
dimanche, 03 avril 2005 20:00Monsieur Gilles Renaud a toujours pratiqué la photographie comme passe-temps. Un jour par pur hasard, il se retrouva photographe pour le Journal de Montréal, un emploi qu’il occupe depuis 18 ans. Passionné par les incendies, il plaça très vite le feu au centre de ses photos.
En 1997, M. Renaud eut la grande idée de venir en aide aux personnes victimes d’incendies et aux principaux acteurs lors de ces évènements soit: les pompiers, les policiers et les ambulanciers. C’est ainsi que depuis 7 ans, il circule dans la région, au volant d’un autobus aux allures de camion de pompier pour apporter un support moral et physique aux sinistrés sur un lieu d’urgence.
De la confection de robes au Fourquet Fourchette
mercredi, 30 mars 2005 19:00Construit en 1922, l’édifice du 1887 rue Bourgogne a eu plusieurs utilités. Utilisé comme salle de réunions pour les Chevaliers de Colomb puis d’atelier pour le céramiste Coîteux, la fin de la Deuxième Guerre mondiale voit arriver de nouveaux propriétaires dans ce bâtiment: La compagnie Judy Lynn Dress s’y établit en 1950.
La fin du conflit mondial amène des changements dans la production industrielle du vêtement; on s’intéresse maintenant à produire des vêtements pour les femmes.
Les grandes familles de fromages
mardi, 29 mars 2005 19:00L’une des façons de classifier les fromages est d’y aller selon leur texture. Mais saviez-vous qu’au Québec les fromages sont classés par degré de fermeté, ce qui permet d’évaluer le rapport entre le contenu en eau et le contenu en matières grasses ?
Céline Bérubé: Oui! Même en 2005
lundi, 28 mars 2005 19:00Mme Céline Bérubé a connu une enfance religieuse comme la plupart des gens de sa génération. Mais c’est au début des années 80 qu’elle redécouvre, avec une toute nouvelle vision, la religion catholique. L’implication de Mme Bérubé dans la paroisse Saint-Joseph ne se résume pas seulement à se rendre à la messe tous les dimanches matins. De 1983, après la naissance de sa fille Catherine, à 1993, elle guide et explique avec plaisir aux jeunes couples les préparatifs reliés au baptême de leur enfant.