M. Mitchell affirme qu’il n’a jamais voulu tuer le premier ministre et que les menaces qu’il a proférées envers lui sur Facebook n’étaient destinées qu’à attirer l’attention. M. Mitchell ne s’explique également pas pourquoi il a été jugé à Québec, en dehors de son district judiciaire. Le juge a pris la requête en délibéré.
Robert Mitchell a été reconnu coupable, le vendredi 2 décembre dernier, au Palais de justice de Québec, d’avoir menacé de causer des méfaits au bureau du député de Chambly, Bertrand Saint-Arnaud. Robert Mitchell a toutefois été acquitté d'un chef d'accusation de menaces de mort à l'endroit du député de Chambly. Il a également été reconnu coupable d'avoir proféré des menaces de mort à l'endroit du premier ministre Jean Charest.