Les bassins versants de la Montérégie pourront bénéficier d’une nouvelle aide du gouvernement provincial. Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, Yvon Vallières, le ministre du Développement durable, de l’environnement et des Parcs, Claude Béchard ainsi que le président général de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Laurent Pellerin, ont annoncé le 6 décembre dernier le lancement du Plan d’action concerté sur l’agroenvironnement et la cohabitation harmonieuse 2007-2010. Au total, 10 millions de dollars seront investis au cours des trois prochaines années afin de contrer plusieurs problèmes environnementaux qui touchent les régions du Québec, dont la Montérégie.

Quoi de mieux qu’un bon vin pour accompagner un repas des Fêtes ? Mais encore faut-il réussir ses accords entre le met et le vin. Le Chroniqueur gastronomique Patrick Chazallet propose quelques trucs pour apprendre à toujours bien mixer les deux. Selon ce dernier, un plat très épicé doit être accompagné d’un vin sucré, puisque le sucre du vin va se fondre derrière les épices. Sur un plat très élégant, mieux vaut allier un Bourgogne ou un Côtes du Rhône septentrional. Sur un plat très rustique, l’association avec un Madiran ou un Cahors sera souvent une réussite. Patrick Chazallet ajoute que chaque fois que l’on souhaite déguster un vin plus sucré qu’un plat lui-même sucré, l’accord ne peut se faire.

Deux autres comités pour le Maire

lundi, 04 décembre 2006 19:00

Le Maire de Chambly Denis Lavoie a été mandaté le 22 novembre dernier pour siéger sur le comité exécutif du conseil d’administration de la Régie inter-municipale de police Richelieu – Saint-Laurent. Très heureux de la marque de confiance démontrée par ses collègues, M. Lavoie considère que cette nouvelle fonction lui permettra de poursuivre l’engagement qu’il avait pris afin d’améliorer la qualité de vie des citoyens. «Cette nomination s’inscrit dans une démarche cohérente que j’ai entreprise afin d’offrir aux citoyens un environnement de qualité en matière de sécurité publique», affirme Denis Lavoie. On annonçait une semaine plus tard, le 29 novembre dernier, que monsieur Denis Lavoie siègera aussi à la Table de travail pour l’amélioration de la sécurité routière de l’Association des directeurs de police du Québec (ADPQ).

Savourez Noël…entre les copieux repas !

mardi, 28 novembre 2006 19:00

À moins d’un mois de Noël, la chronique nutrition s’intéressera particulièrement à la bouffe du temps des Fêtes au cours des prochaines semaines. Dans un seul repas des fêtes, nous pouvons ingérer cinq fois la quantité de gras normalement absorbé pendant toute une journée. Est-ce que cela veut dire que l’on doit se priver de tourtière ? Heureusement non. Cette semaine, on se demande comment ne pas se priver de la nourriture du temps des Fêtes tout en limitant la prise de poids. C’est vrai, Noël apporte une surcharge digestive. Il est donc important de bouger entre les repas. Le lendemain du réveillon de Noël, rappelez-vous qu’il est préférable d’aller respirer un peu d’air à l’extérieur en marchant, patinant ou skiant, plutôt que d’ajouter une couche supplémentaire de victuailles dans l’organisme, surtout si cela fait à peine six heures que vous n’avez pas mangé. Normalement, le corps doit  passer de 11 à 14 heures sans manger par 24 heures.

De la vitamine C pour l’hiver

mardi, 14 novembre 2006 19:00

Cette semaine, la chronique nutrition prépare ses lecteurs pour des temps plus froids à venir. Plusieurs nutritionnistes associent la période hivernale à la vitamine C, alors que celle-ci assure le bon fonctionnement du système immunitaire durant cette période. Une carence en vitamine C se traduit souvent par une importante fatigue, une perte d’appétit et une moindre résistance aux infections. Plusieurs aliments ont la particularité d’être d’excellentes sources de vitamine C, notamment les kiwis, les poivrons, les fraises, la cassis, le persil, les choux ainsi que tous les agrumes. La vitamine C est à ce point bonne pour la santé l’hiver que plusieurs en prennent abondamment pour se protéger contre le rhume avant qu’il ne frappe.

La pratique d’un avocat en 2006….

mercredi, 08 novembre 2006 19:00

Profession libérale, la pratique du droit de 2006 n’a rien en commun avec l’image bucolique de l’avocat, intellectuel s’affairant dans une bibliothèque, lumières diffuses, regard penseur, un livre de droit sur les genoux. Appels téléphoniques quotidiens, courriers électroniques à surveiller, rencontres avec les clients, les associés et le personnel de soutien, courriers, procédures, opinions à rédiger, le travail de l’avocat est en constante évolution. L’avocat oeuvrant en pratique privé se doit d’être un dirigeant d’entreprise, un directeur des ressources humaines, un gestionnaire. Il doit être flexible et s’adapter aux changements quotidiens de son horaire. Il doit être d’attaque pour demeurer alerte les journées de représentations à la Cour.

La nutrition et les ados

mardi, 07 novembre 2006 19:00

L’adolescence est une période de grandes transformations, entre autres au niveau physique. C’est pourquoi les besoins nutritionnels sont augmentés à cette période de la vie. Entre 12 et 18 ans, le corps a besoin d’énergie car c’est à cet âge qu’il se bâtit. C’est dans les glucides que le corps ira puiser pour aller chercher son énergie. Il existe deux sortes de glucides, soit les glucides complexes (sucres lents) et les glucides simples (sucres rapides). Les féculents sont aussi importants pour fournir toute l’énergie nécessaire à une bonne activité physique, c’est-à-dire le pain, les céréales, les pâtes alimentaires et les légumineuses (lentilles, haricots, pois...).Les adolescentes ont un besoin en fer encore plus grand que les adolescents puisque l’apparition des menstruations cause la perte de fer dans le sang chez les jeunes femmes.

Les organismes génétiquement modifiés (OGM) ont fait l’objet de plusieurs débats sur la nutrition au cours des dernières années. Les denrées alimentaires génétiquement modifiées sont des types de plantes dont les caractéristiques génétiques ont été transformées. On peut, par exemple, insérer une bactérie dans un aliment qui permettrait à cet aliment de résister aux pesticides. Même si on ne retrouve pas encore de viande génétiquement modifiée sur le marché à l’heure actuelle, les scientifiques font des recherches sur la modification génétique de poissons, vaches et cochons. Il est possible de voir si un produit contient des éléments génétiques modifiés en regardant attentivement son étiquetage.