Chambly Matin - Journal le Chambly Matin, Montérégie Quotidien

Ainsi, les plages des quatre points d’eau du camping du domaine de Rouville ont vu leurs analyses se mériter la plus haute distinction en matière de qualité de l’eau pour la baignade, soit A pour les années 2008 et 2009. Les derniers échantillonnages ont été faits le 5 août de cette année. La plage du Parc de la Yamaska, située tout près de Granby et qui est également très fréquentée par les résidents de la région de Chambly, est, elle aussi, propre à la baignade. Ce point d’eau qui avait obtenu la classification A l’année dernière a, toutefois, dû se contenter d’un  B pour cette année. C’est sur la base de la qualité bactériologique (coliformes fécaux) qu’une cote A (excellente), B (bonne), C (passable) ou D (polluée) est attribuée aux plages participantes.

Le ministère des Ressources naturelleset de la Faune (MRNF) conviait les représentants des médias, hier, à une conférence de presse soulignant le début d’une importante opération de vaccination des ratons laveurs, des mouffettes et des renards contre la rage du raton laveur. Près d’un million d’appâts vaccinaux seront épandus en Estrie et en Montérégie, par avion et à la main, afin d’augmenter le pourcentage d’animaux immunisés dans les zones critiques et de maintenir la barrière vaccinale établie depuis plusieurs années déjà. Lors de cette annonce, les autorités ont rappelé aux citoyens l’importance de signaler les animaux suspects et les risques associés à la rage du raton laveur.

Le nombre de cas de rage de la souche du raton laveur a diminué de moitié l’an dernier au Québec, passant de 66 cas en 2007 à 32 l’an dernier. Dans le secteur Saint-Jean-sur-Richelieu, aucun cas de rage n’a été constaté en 2008. Le cas le plus près de nous pour l’an dernier a été remarqué à Saint-Césaire. En mai, près de 65 000 appâts vaccinaux avaient été épandus dans 57 municipalités de la Montérégie, dont à Chambly, Richelieu, Carignan, Saint-Mathias-sur-Richelieu et Marieville. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune a fait répandre près d’un million d’appâts vaccinaux en Montérégie et en Estrie l’été dernier pour contrer la rage du raton.

Avec une autre journée où la température ressentie devrait se situer à près de 36 degrés Celsius, plusieurs inconvénients peuvent survenir au travail. La Commission de la santé et de la sécurité au travail (CSST) met à la disposition des internautes des conseils en ligne pour éviter les malaises lors des canicules. Les travailleurs doivent être vigilants avec cette première vague de chaleur de l’été.

Pour éviter le pire, les travailleurs doivent notamment boire au minimum un verre d’eau toutes les 20 minutes et porter des vêtements légers, de couleur claire. Se couvrir la tête est un bon moyen d’éviter les coups de chaleur. À mesure que la chaleur augmente, il faut ajuster le rythme de travail et prendre des pauses à l’ombre. Vous devez redoubler de prudence si vous avez été malade récemment, si vous prenez des médicaments ou si vous avez des problèmes de santé.

La CSST invite les Québécois à repérer les symptômes liés aux coups de chaleur. Si quelqu’un au travail a des étourdissements et des vertiges, il faut suivre les instructions suivantes:

1) Alerter les premiers secours: les secouristes en milieu de travail et le service 911.

2) Transporter la personne à l’ombre ou dans un endroit frais et lui ôter ses vêtements. 3) Asperger son corps d’eau. 4) Faire le plus de ventilation possible. 5) Lui donner de l’eau fraîche en petites quantités si elle est consciente et lucide. La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) est l’organisme auquel le gouvernement du Québec a confié l’administration du régime de santé et de sécurité du travail.

L’avis d’ébullition transmis porte-à-porte aux citoyens de Richelieu vendredi dernier a été levé lundi en milieu d’après-midi. La directrice générale de la municipalité, Nancy Poirier, a expliqué au journal que cette décision avait été prise vendredi suite à une baisse de la pression d’eau à la ville. Cette baisse était survenue suite à un accrochage des conduits lors des travaux d’infrastructure.

Cette procédure est normale lorsque survient ce type d’accident et cela ne veut pas nécessairement dire que l’eau de la ville a été impropre à la consommation mais, selon les règles, aucune chance ne doit être prise lors de tels événements. Les résidents de Richelieu peuvent donc maintenant boire l’eau du robinet en toute quiétude.