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  • jeudi, 24 avril 2025 08:00 | Publié dans la rubrique Arts et spectacles

    La pièce Vague de fond sera présenté au Café-Théâtre de Chambly

    La pièce Vague de fond sera présenté au Café-Théâtre de Chambly

    Le Café-Théâtre de Chambly présentera la comédie audacieuse et très rythmée Vague de fond, des écrivains québécois Simon Boudreault et Jean-Guy Legault. Les représentations auront lieu les vendredis et samedis à 20 heures, du 2 au 24 mai prochain.

     

    À propos de la pièce

    Après s’être enfuie de l’église où un ami prêtre s’apprêtait à bénir son mariage, Nadia St-Onge monte en voiture sous le coup de l’hystérie et plonge dans le fleuve. Le prêtre, la fille d’honneur et le futur marié, s’étant engouffrés à sa suite dans le véhicule, se retrouvent également prisonniers de ce huis clos sous-marin où tous se diront leurs quatre vérités. 

     

    Les comédiens Tomy Girard, Stéphanie Gosselin, Daniel Lachance, Catherine Papineau et Jean François Paradis sont ceux qui plongeront dans Vague de fond. La mise en scène est signée par Véronique Dupont, assistée de Marilou Cholette. Entourées d’une équipe talentueuse, elles affirment avoir pu laisser libre cours à leur folie. 

    « J’ai décidé de dépasser mes propres limites, d’aller au plus profond de mon imagination. Je voulais créer une ambiance de huis clos immersif où le public se sentirait dans le fond de l’eau sur le point de manquer d’air, au bord de la noyade. Vague de fond est le reflet des incertitudes et des non-dits, de ces relations que l’on conserve, car elles font partie de notre passé. Mais est-ce toujours sain ? Quand devons-nous couper le cordon ? » demande Véronique Dupont.

     

    Les billets sont en vente sur le site du Café-Théâtre de Chambly.

     

Yves Lessard répond à 1 500 lettres sur l’assurance-emploi

mercredi, 23 septembre 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales
Le député fédéral de Chambly-Borduas Yves Lessard a indiqué hier avoir répondu à près de 1 500 lettres écrites à son endroit dans le cadre des Relais pour la vie tenus à Chambly et Mont-Saint-Hilaire en juin dernier. Les lettres, qui demandaient des modifications au programme d’assurance-emploi, dénonçaient entre autres la limite de quinze semaines de prestations lors d’absence pour maladies et les six semaines offertes aux proches aidants. « Je tenais à leur répondre personnellement et ce malgré le grand nombre de lettres reçues. Mes collègues du Bloc Québécois et moi-même sommes d’avis que le régime d’assurance-emploi est déficient et qu’il est urgent de le réformer en profondeur », a affirmé Yves Lessard. Pour les personnes atteintes de maladie grave, M. Lessard souligne que le Bloc Québécois a déposé un projet de loi de même qu’une motion à la Chambre des communes qui visent à faire passer de 15 à 50 le nombre maximal de semaines pendant lesquelles peuvent être versées des prestations spéciales pour causes de maladie, blessure ou mise en quarantaine.

Boire du lait, vivre plus longtemps ?

mardi, 22 septembre 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Foodies

Selon une étude britannique menée depuis plus de 70 ans, les enfants qui consomment beaucoup de lait depuis l’enfance vivent plus longtemps que les autres. Entre 1937 et 1939, des chercheurs ont analysé le comportement alimentaire de près de 5 000 enfants vivant en Angleterre et en Écosse. Les chercheurs ont ensuite observé les évolutions de la santé de 4374 d'entre eux entre 1948 et 2005, avec une attention particulière sur les causes de décès. Après plus de 70 ans d'observation, les auteurs ont ainsi pu constater que l'espérance de vie globale des enfants qui avaient consommé beaucoup de produits laitiers était en moyenne plus élevée que ceux qui en consommaient moins, ou pas du tout. Ces enfants ont également fait, une fois devenus adultes, moins d'accidents vasculaires cérébraux. Les chercheurs n’ont toutefois noté aucune différence pour les infarctus.

Incendies dans les villes du bassin : les policiers sur deux pistes

mardi, 22 septembre 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales
Samuel Thibault
Les enquêteurs de la Régie de police Richelieu Saint-Laurent examinent actuellement deux pistes sérieuses concernant les nombreux incendies suspects déclarés dans la région de Chambly au cours des derniers mois.
Hier, l’agent Pierre Tremblay, de la Régie policière, a commenté le dossier. « Une enquête est ouverte à l’heure où l’on se parle. Les enquêteurs prennent l’affaire très au sérieux et envisagent deux pistes sérieuses. » Selon les informations obtenues par le journal, l’une des deux pistes viserait un groupe de voyous du secteur de Chambly qui se déplaceraient en scooters. La deuxième impliquerait un suspect qui agirait seul. Semble-t-il que les deux pistes pourraient être valables, certains incendies ayant pris naissance de façon bien différente que d’autres. Questionné à savoir si des mesures de surveillance sont actuellement prises, notamment la filature des suspects, pour éviter de nouveaux feux dans le secteur, Pierre Tremblay a simplement mentionné que « plusieurs techniques d’enquête sont utilisés dans ce genre d’enquête, dont, effectivement, la filature ».

Code d’éthique municipal : Jacques Ladouceur se questionne

mardi, 22 septembre 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales
Le maire sortant de Richelieu Jacques Ladouceur se questionne sur l’adoption d’un code d’éthique par les municipalités et les conséquences légales face à un code qui serait non suivi dans l’édition d’octobre du bulletin municipal Le Courant. Commentant la mise sur pied par le gouvernement provincial d’un comité ayant produit un rapport de 19 recommandations visant autant les élus que les employés des villes, M. Ladouceur souligne que la loi devrait être plus sévère et inclure des sanctions réelles à l’endroit des élus et fonctionnaires qui profitent du système. « La loi sur les cités et villes ou encore le code municipal, selon leur application, devrait être modifié et inclure plus de rigueur et des sanctions réelles face aux gestes posés par les élus. Les recommandations du rapport laissent trop de flous et de possibilités à une municipalité pour élaborer et appliquer un code d’éthique », souligne-t-il. « S’il y avait mésentente dans l’application d’un code, qui assumerait les frais judiciaires pour trancher ce litige? Serait-ce encore une fois remis à la municipalité et à ses contribuables? (…) Ceux qui croient qu’un simple code serait plus efficace qu’une loi, sont complètement dans l’erreur. »