• jeudi, 24 avril 2025 08:00 | Publié dans la rubrique Arts et spectacles

    La pièce Vague de fond sera présenté au Café-Théâtre de Chambly

    La pièce Vague de fond sera présenté au Café-Théâtre de Chambly

    Le Café-Théâtre de Chambly présentera la comédie audacieuse et très rythmée Vague de fond, des écrivains québécois Simon Boudreault et Jean-Guy Legault. Les représentations auront lieu les vendredis et samedis à 20 heures, du 2 au 24 mai prochain.

     

    À propos de la pièce

    Après s’être enfuie de l’église où un ami prêtre s’apprêtait à bénir son mariage, Nadia St-Onge monte en voiture sous le coup de l’hystérie et plonge dans le fleuve. Le prêtre, la fille d’honneur et le futur marié, s’étant engouffrés à sa suite dans le véhicule, se retrouvent également prisonniers de ce huis clos sous-marin où tous se diront leurs quatre vérités. 

     

    Les comédiens Tomy Girard, Stéphanie Gosselin, Daniel Lachance, Catherine Papineau et Jean François Paradis sont ceux qui plongeront dans Vague de fond. La mise en scène est signée par Véronique Dupont, assistée de Marilou Cholette. Entourées d’une équipe talentueuse, elles affirment avoir pu laisser libre cours à leur folie. 

    « J’ai décidé de dépasser mes propres limites, d’aller au plus profond de mon imagination. Je voulais créer une ambiance de huis clos immersif où le public se sentirait dans le fond de l’eau sur le point de manquer d’air, au bord de la noyade. Vague de fond est le reflet des incertitudes et des non-dits, de ces relations que l’on conserve, car elles font partie de notre passé. Mais est-ce toujours sain ? Quand devons-nous couper le cordon ? » demande Véronique Dupont.

     

    Les billets sont en vente sur le site du Café-Théâtre de Chambly.

     

La Ville de Chambly a mandaté ses avocats d’entamer des procédures contre quatre personnes pour diffamation systémique. Les personnes visées sont Louise Chevrier, Dominique Béland, Alexandre Lambert et Sonia Gagnon. C’est ce qui a été adopté, le 3 avril, lors de la séance du conseil municipal de Chambly.

La Commission scolaire des Patriotes (CSP) acheminera, dès aujourd’hui, une demande au Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES) pour l’ajout des secondaires 4 et 5 à Chambly en plus de l’agrandissement de l’école primaire De Salaberry.

Le maire de Chambly, Denis Lavoie, a commenté, hier, la décision de la Commission de toponymie du Québec d’autoriser la demande de Chambly. La rue Ostiguy deviendra Petrozza. La rue et le parc Colborne disparaîtront pour prendre le nom Ostiguy. Cette décision, qui a été prise par le conseil municipal en janvier dernier, est vivement contestée par certains citoyens et par le Mouvement citoyen de Chambly (MCC) qui a mis une pétition en circulation pour s’opposer à cette décision.

À compter d’aujourd’hui jusqu’au 5 avril, la Régie intermunicipale de police Richelieu-St-Laurent intensifiera ses interventions ciblant le respect du port de la ceinture de sécurité, pour l’ensemble des occupants d’un véhicule. Des opérations et des interceptions des patrouilleurs seront menés de façon intensive afin de sévir contre les contrevenants.

La meilleure mesure de protection

La ceinture de sécurité est reconnue comme étant la meilleure mesure de protection des occupants d’un véhicule. Elle réduit de moitié les risques d’être tué ou blessé gravement dans un accident.

Chaque année, en moyenne, environ 30 % des conducteurs et passagers de véhicules de promenade décédés n’avaient pas leur ceinture. Cette proportion est stable depuis 1990, alors que le nombre de victimes diminue. Plus précisément, de 2012 à 2016, chaque année en moyenne : 60 personnes décédées et 150 personnes blessées gravement dans un accident ne portaient pas leur ceinture de sécurité (conductrice et passagère).

Entre 2012 et 2016, les passagers arrière décédés lors d’un accident sont surreprésentés. Alors que les passagers avant  décèdent dans une proportion de 17,7 %, ceux qui prennent place à l’arrière meurent à 37,1 %. C’est à ce taux de non port de la ceinture auquel les policiers veulent s’attaquer.