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Nouvel outil pour le dépistage du cancer du sein

lundi, 04 mai 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales

À l’occasion de la fête des Mères, le 10 mai prochain, la Société canadienne du cancer (SCC) invite la population à se procurer un Mémo-mamo au coût de 5 $ au comptoir des ordonnances des pharmacies affiliées à Jean Coutu du Québec et dans les bureaux régionaux de la SCC. L'argent recueilli par les ventes de cet outil servira directement à financer les multiples programmes et services de la Société canadienne du cancer. Avec ses billes de tailles différentes, le Mémo-mamo démontre bien l’efficacité de la mammographie pour les femmes de 50 ans et plus. Les plus grosses billes, de la taille d’une pièce de 10 ou de 25 cents, représentent les bosses généralement détectées par les femmes elles-mêmes ou par un professionnel de la santé. Les plus petites billes représentent les lésions dépistées à l’aide de mammographies régulières; elles peuvent être aussi petites qu'une tête d'aiguille. La SCC souhaite ainsi que les mères qui recevront un Mémo-mamo passent le mot et en parlent à toutes les femmes dans leur entourage. Le but de la campagne est d’inciter toutes les Québécoises âgées de 50 à 69 ans à participer au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS).

Opération anti-rage en Montérégie

jeudi, 30 avril 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Environnement

Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) a amorcé lundi sa première intervention de contrôle de l’année contre la rage du raton laveur. Une opération devenue presque coutume dans la région depuis quelques années.
L’intervention consiste à vacciner les ratons laveurs, mouffettes et renards qui se trouvent près des endroits où des cas de rage ont été recensés en 2008. Jusqu'à mercredi prochain, des équipes du MRNF parcourront ainsi un territoire de 2 400 km2 pour épandre à la main des appâts vaccinaux, qui ont l'apparence de grosses olives vertes, dans les habitats naturels des animaux en question. Ces lieux incluent notamment les zones boisées, les abords des cours d'eau, les milieux agro-forestiers et, à l'occasion, les poubelles. Au terme de l'intervention, près de 65 000 appâts vaccinaux auront été épandus dans 57 municipalités de la Montérégie, dont à Chambly, Richelieu, Carignan, Saint-Mathias-sur-Richelieu et Marieville. Les appâts sont répartis sur les rives de la rivière Richelieu et sur une bande de 50 à 70 km à l'est de la rivière, de la frontière américaine jusqu'au mont Saint-Hilaire, ainsi que dans cinq municipalités de l'Estrie, sur les rives du lac Memphrémagog.

Chambly encourage l’herbicyclage

jeudi, 30 avril 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Environnement

La Ville de Chambly encourage ses citoyens à se familiariser avec l’herbicyclage alors que la saison de la tonte du gazon débutera sous peu. Selon une étude de Recyc-Québec, le gazon et les autres types d’herbes représentent 50 à 70 % des matières présentes dans les collectes de résidus verts. L’herbicyclage est une façon simple et économique de diminuer la quantité de matières organiques à traiter et les coûts qui y sont rattachés. Pour pratiquer l’herbicyclage, il suffit de laisser l’herbe coupée sur la pelouse au moment de la tonte. Les micro-organismes présents dans le sol décomposeront les rognures de gazon dans les 48 heures. La pratique est facile à adopter, en plus de représenter une économie de temps. L’herbicyclage favorise la réduction des impacts environnementaux liés au transport et au traitement des résidus. Quant à la pelouse, elle sera plus résistante à la sécheresse et aux maladies puisqu’elle bénéficie d’un apport en éléments nutritifs et en matières organiques. Le gazon coupé laissé par terre aide par ailleurs la pelouse à conserver son humidité, en plus de favoriser des économies d’eau, de sacs à ordures et d’engrais.

Chronique humeur - La folie

jeudi, 30 avril 2009 20:00 | Publié dans la rubrique Humeur

Même si les autorités compétentes nous répètent que la transmission du virus de la grippe porcine se fait d’humains à humains, la confusion règne au sein de la population à savoir si l’on peut manger du cochon. Cette semaine, le Conseil canadien du porc (CCP), soulignant être inondé d’appels de consommateurs, a même dit souhaiter changer l’appellation pour la nommer plutôt la grippe « nord-américaine ». L’Organisation mondiale de la Santé a aussi démontré son intérêt, hier, à cesser de parler de la grippe « porcine ». Cette semaine, malgré que le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé animale, Bernard Vallat, ait affirmé que les élevages de porcs n’étaient pas responsables de l’épidémie, l’Égypte a ordonné l’abattage de tous les porcs du pays. « Tous les troupeaux de cochons d’Égypte seront égorgés le plus vite possible en faisant tourner les abattoirs à leur maximum », a décrété le gouvernement égyptien, dans le but d’éviter la panique dans une population majoritairement musulmane. Déjà, l’Organisation des nations unies (ONU) a critiqué cette décision en parlant d’une erreur. En tout, on parle de plus de 300 000 bêtes et des milliers d’éleveurs au chômage.