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Promouvoir les producteurs du Québec

mercredi, 25 juin 2008 20:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales

La 2e édition du Salon du Goût Slow Food avait lieu à Marieville les 14 et 15 juin derniers et plus que jamais, les visiteurs ont pu découvrir les petits producteurs artisans québécois, en ces temps de crise alimentaire mondiale. « C’est un moyen extraordinaire pour rapprocher les agriculteurs des consommateurs et des transformateurs, leur permettre de se faire connaître auprès d’un plus large public, encourager la sauvegarde des économies locales et favoriser la biodiversité alimentaire, » a conclu Françoise Kayler, porte-parole du mouvement Slow Food, active tout au long du Salon. La cinquantaine d’exposants présents, venus plusieurs régions du Québec, ont grandement apprécié leur contacts directs avec les visiteurs, intéressés à en savoir davantage sur la production agricole et ouverts à découvrir nouveaux produits et nouvelles saveurs. Ainsi, plusieurs artisans étaient en rupture d’inventaire à la clôture de l’événement, confirmant bien l’intérêt des visiteurs pour les produits du Québec. Les visiteurs étaient tout aussi heureux de leur présence au Salon. « Pour profiter au maximum de ma présence ici, j’aurais dû prévoir le double du temps tellement il y a des artisans à rencontrer, des conférences intéressantes et des produits à déguster », a déclaré Valérie Garnier lors de l’événement. Au total, plus de 4 000 personnes se sont présentés au salon, un achalandage de 35 % augmenté par apport à l’an dernier.

Tendance vers la viande bio

mardi, 24 juin 2008 20:00 | Publié dans la rubrique Foodies

De plus en plus de gens consomment bio et la viande n’échappe pas à cette tendance. Selon la Fédération d’agriculture biologique du Québec (FABQ), la production biologique connaît une forte croissance depuis les dix dernières années dans la province, et ce, dans l’ensemble des secteurs de production. Au Québec, la production de viande biologique est diversifiée (bovins, vaches, veaux, porcs, poulets, agneaux et œufs de consommation). On dénombre également des producteurs de dindes, de canards, d’oies, de chèvres, de lapins et de grands gibiers biologiques.Chaque production animale a ses particularités quant aux soins vétérinaires, aux techniques d’élevage, aux normes environnementales et à la mise en marché. L'élevage biologique exige que les animaux bénéficient de conditions de vie naturelles: air frais, lumière du jour, espace pour faire de l'exercice, alimentation équilibrée, composée de grains et de produits exempts de pesticides ou d'engrais chimiques. Évidemment, pas question d'utiliser d'hormones de croissance, d'antibiotiques ou d'organismes génétiquement modifiés (OGM). Ce traitement doit toutefois se payer plus cher sur le marché, alors que la viande biologique peut parfois se vendre jusqu’à 90 % plus cher que la viande d'élevage industriel. Une différence qu'on justifie par les coûts plus élevés qu’amènent les meilleurs soins.

Oui aux tomates…du Québec !

mardi, 17 juin 2008 20:00 | Publié dans la rubrique Foodies

Alors que de plus en plus de restaurateurs se tournent vers les tomates du Québec, Santé Canada souhaite rappeler à la population l'importance de manipuler et de préparer adéquatement les tomates fraîches afin de prévenir toute intoxication alimentaire. Les tomates fraîches des champs et les autres fruits et légumes ne contiennent pas à l'état naturel de bactéries qui peuvent nous rendre malades. Comme les tomates poussent à proximité de la surface du sol, le fruit peut être contaminé pendant la culture par le sol, par de l'eau contaminée, par des animaux sauvages ou domestiques ainsi que par du fumier insuffisamment composté. Des bactéries peuvent aussi être transférées dans le fruit pendant et après la récolte au moment de la manutention, de l'entreposage et du transport. Santé Canada conseille de toujours se laver les mains avant de manipuler un fruit ou un légume frais. On doit aussi laver les tomates sous un faible jet d'eau fraîche courante et écarter toute tomate qui présente des flétrissures ou des marques de pourriture. Rappelons que depuis la mi-avril, 145 personnes ont été intoxiquées à la salmonelle en mangeant des tomates des États-Unis chez nos voisins du sud. De ce nombre, 23 malades ont dû être hospitalisés.

Bien manger pour mieux bouger

mardi, 10 juin 2008 20:00 | Publié dans la rubrique Foodies

Pour tirer le maximum d'une activité physique, il est important de faire les bons choix alimentaires avant et pendant l’exercice. Une bonne alimentation avant de bouger permet de ne pas sentir la faim aux moments critiques et de fournir du carburant aux muscles tout au long de l'activité. D’abord, il est recommandé de manger de 3 à 4 heures avant l’activité physique. En laissant le temps de bien digérer son repas, on évite l'inconfort d'un estomac plein et tout en permettant au corps de concentrer ses énergies davantage sur les muscles que sur l’intestin. Si vos occupations ne vous permettent pas de changer l’heure de votre repas, mangez plus léger. Les sucres lents, les fruits, et les aliments contenant beaucoup de potassium sont à privilégier. Pour éviter les inconforts, prenez un repas à faible teneur en matières grasses, tout en laissant de côté les épices et les sucreries. Deux heures avant l'activité physique, il est aussi recommandé de boire de 400 à 600 ml de liquide pour assurer une bonne hydratation. Pendant le sport, boire de l'eau est une excellente solution pour éliminer les toxines. À noter par ailleurs que les agrumes, qui sont très acides, sont à éviter pendant l’effort puisqu’ils peuvent parfois occasionner de l’irritation au niveau des voies respiratoires.