Chambly Matin - Journal le Chambly Matin, Montérégie Quotidien

Samuel Thibault
Deux automobilistes circulant sur l’autoroute 10, direction Montréal, ont eu une peur bleue hier matin, peu avant 7h, alors que deux pièces de béton d’environ quatre par six pouces et d'une épaisseur d'un demi-pouce se sont détachées du viaduc de l’autoroute 30, à la hauteur de Brossard, avant de tomber sur leur véhicule. Heureusement, personne n’a été blessé lors de l’incident, outre le bris d’un pare-brise et une crevaison. Hier, Transport Québec a mentionné que la chute de ces morceaux de béton est due au phénomène de délaminage et à un gonflement des tiges d’acier et que cet incident ne met aucunement en péril la fiabilité de la structure puisqu’il s’agit de recouvrement. Le laminage remplit une fonction à la fois esthétique et protectrice mais son effritement ne signifie nullement que la structure est affectée. Le ministère a par ailleurs assuré que ce type de pont d'étagement, présent par milliers au Québec, est sécuritaire et que les automobilistes qui circulent dessus et en dessous ne courent aucun risque.

Samuel Thibault
Les Chamblyens et Marievillois sont les citoyens qui privilégient le plus le plaisir au travail selon l’enquête sociale « Découvrez le vrai visage du Québec », effectuée par Léger Marketing auprès de 30 000 répondants en mars dernier. Ce deuxième volet du plus important sondage jamais réalisé auprès des Québécois place ainsi les villes de Chambly et Marieville au premier rang parmi les populations à favoriser le plaisir au travail, dans une proportion de 78 %, soit bien davantage que la moyenne provinciale, établie à 61 %. Les deux municipalités sont suivies de près par le Plateau Mont-Royal, où près 77 % y favorisent le plaisir. À l’autre bout de la liste, les villes à privilégier le travail plutôt que le plaisir sont Mont Laurier/Rivière Rouge/Lac-des-Écorces et Gaspé/Chandler/Pabos, dans une proportion de 53 % et 49 %. Le sondage démontre par ailleurs que la dimension du travail gagne du terrain en vieillissant. Ainsi, chez les 60 ans et plus, faire son travail revêt plus d’importance (61 %) qu’avoir du plaisir (34 %) alors que chez les jeunes, c’est le plaisir qui est privilégié à tout près de 80 %.

Le tout nouveau livre du sommelier François Chartier, Papilles et Molécules, est désormais disponible dans les librairies du Québec. Avec ce nouvel ouvrage, l’auteur présente une approche scientifique et ludique pour une plus grande harmonie entre les vins et les mets. Plongeant au cœur de la matière, l’homme parle des molécules responsables des arômes et offre, comme autant de formules magiques, une multitude de propositions harmoniques pour mettre ces connaissances en pratique. Les nombreuses familles aromatiques qu’il a identifiées sont autant de clés qui permettent l’harmonie parfaite tant dans la création de recettes en cuisine que dans l’accord des vins et des mets. Dans ce quinzième ouvrage, publié par les Éditions La Presse, le sommelier dévoile ses trucs, ses idées, ses recettes et ses tableaux personnels qui donnent en un coup d’œil les bases faciles et utiles pour créer des repas de tous les jours, comme ceux des jours de fête. François Chartier, qui consacre depuis vingt ans des recherches aux atomes crochus qui existent entre les aliments et les vins, propose une manière révolutionnaire de concevoir la cuisine.

Samuel Thibault
Des centaines de personnes, dont le Premier ministre du Québec Jean Charest, le biologiste et cinéaste Jean Lemire et l’explorateur Bernard Voyer ont assisté jeudi dernier à l’inauguration officielle du tout premier Centre d’interprétation des énergies renouvelables du Québec, celui de parc-école de l’école primaire de Richelieu. Le président de l’Agence spatiale canadienne, Steven McLean, était venu visiter les jeunes écoliers en matinée. Étaient également présents plusieurs maires de la région, de même que les députés fédéral et provincial, Yves Lessard et Bertrand St-Arnaud, tout comme la ministre responsable de la Montérégie, Nicole Ménard. Tous, sans exception, ont souligné le dévouement et la détermination du président de la Fondation jeunesse du Richelieu, Claude Gauthier, l’homme derrière le projet. Jean Charest, qui a félicité M. Gauthier pour son leadership, lui a d’ailleurs remis une plaque honorifique en nommant la salle de contrôle du CIER au nom de ce dernier.