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mardi, 06 mai 2025 05:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales
Prévention incendie : Reprise des visites résidentielles à Chambly
Du début mai à la fin octobre, le Service d’incendie de la Ville de Chambly entreprendra son programme de visites résidentielles de prévention incendie. L’objectif du programme est de contribuer à la sécurité des citoyens et de s’assurer qu’ils sont protégés conformément à la réglementation en vigueur.
Des noms de rues qui cachent une histoire
Clémence Sabaté (1791-1868) naît en 1791. Elle demeure célibataire toute sa vie. C’est à sa mort, en 1868, qu’elle marque l’histoire en léguant ses bâtiments, soit sa maison et sa ferme, à des œuvres de charité. Son héritage contribuera à la construction de l’hospice Saint-Joseph de Chambly par les Sœurs Grises. C’est à la demande du curé Pierre-Marie Mignault qu’est construit cet hospice alors nommé l’Hôpital de Chambly-Bassin. Cet édifice abrite des orphelins et des personnes âgées et sert d’infirmerie. L’hospice est agrandi en 1917 pour y intégrer des classes et des dortoirs. Le bâtiment est détruit en 1965 mais à son emplacement se trouvent toujours des personnes âgées puisque s’y élève la Résidence Saint-Joseph.
La mélasse de nos grands-parents !
L’environnement, une priorité pour Chambly
Sensibles à l’avenir de l’environnement, les membres du conseil municipal de Chambly ont accepté de travailler en partenariat avec Nature-Action Québec, Action-Environnement et Environnement Canada dans le cadre du projet Défi d’une tonne afin de sensibiliser nos citoyens à l’importance de diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre.
Serge Caron: Une vie enflammée!
Il y a quarante ans, c’est en prenant ses jambes à son cou que Serge Caron quittait sa maison de la rue Bourgogne, pour se rendre à la caserne. À cette époque, alors qu’il n’avait que 18 ans, il réalisait ainsi un grand rêve: celui d’être pompier. Après s’être fait dire qu’il était trop petit pour combattre les incendies de la grande ville de Montréal, c’est en novembre 1964, à Chambly, qu’il devient pompier à temps partiel, poste qu’il occupera pendant douze ans. Le 13 décembre 1976, il fut engagé à temps plein pour la ville, à titre d’inspecteur en prévention et d’adjoint de l’inspecteur municipal.