Des noms de rues qui cachent une histoire

mercredi, 16 mars 2005 19:00 | Publié dans la rubrique Histoire

Clémence Sabaté (1791-1868) naît en 1791. Elle demeure célibataire toute sa vie. C’est à sa mort, en 1868, qu’elle marque l’histoire en léguant ses bâtiments, soit sa maison et sa ferme, à des œuvres de charité. Son héritage contribuera à la construction de l’hospice Saint-Joseph de Chambly par les Sœurs Grises.  C’est à la demande du curé Pierre-Marie Mignault qu’est construit cet hospice alors nommé l’Hôpital de Chambly-Bassin. Cet édifice abrite des orphelins et des personnes âgées et sert d’infirmerie. L’hospice est agrandi en 1917 pour y intégrer des classes et des dortoirs. Le bâtiment est détruit en 1965 mais à son emplacement se trouvent toujours des personnes âgées puisque s’y élève la Résidence Saint-Joseph.

La mélasse de nos grands-parents !

mardi, 15 mars 2005 19:00 | Publié dans la rubrique Foodies
À une époque la mélasse était considérée comme le « sucre de l’habitant », c’est-à-dire du pauvre ; la mélasse fournissait aux coureurs des bois, aux bûcherons et aux ouvriers les calories dont ils avaient besoin pour leurs dures journées de labeur. La mélasse fait donc partie de notre alimentation depuis des siècles. Aujourd’hui, les enfants raffolent des biscuits à la mélasse, par exemple Pattes d’ours de la compagnie Dare qui produit environ 1,5 millions de biscuits par semaine.

L’environnement, une priorité pour Chambly

lundi, 14 mars 2005 19:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales

Sensibles à l’avenir de l’environnement, les membres du conseil municipal de Chambly ont accepté de travailler en partenariat avec Nature-Action Québec, Action-Environnement et Environnement Canada dans le cadre du projet Défi d’une tonne afin de sensibiliser nos citoyens à l’importance de diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre.

Serge Caron: Une vie enflammée!

dimanche, 13 mars 2005 19:00 | Publié dans la rubrique Histoire

Il y a quarante ans, c’est en prenant ses jambes à son cou que Serge Caron quittait sa maison de la rue Bourgogne, pour se rendre à la caserne.  À cette époque, alors qu’il n’avait que 18 ans, il réalisait ainsi un grand rêve: celui d’être pompier.  Après s’être fait dire qu’il était trop petit pour combattre les incendies de la grande ville de Montréal, c’est en novembre 1964, à Chambly, qu’il devient pompier à temps partiel, poste qu’il occupera pendant douze ans.  Le 13 décembre 1976, il fut engagé à temps plein pour la ville, à titre d’inspecteur en prévention et d’adjoint de l’inspecteur municipal.