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L'huile d'olive pour contrôler l'appétit ?

lundi, 10 novembre 2008 19:00 | Publié dans la rubrique Foodies

L’huile d’olive pourrait se révéler une alternative de choix pour contrer l’appétit et contrôler le poids. D’après un article publié dans The Globe and Mail, l’huile d’olive contribuerait à augmenter la sensation de satiété et contrer ainsi la tendance à grignoter entre les repas. C’est du moins ce que pensent des chercheurs américains et italiens qui ont publié récemment les résultats d’un essai mené sur des rats. Dans le cadre de leurs études, les chercheurs ont découvert que seul l’acide oléique a eu pour effet d’augmenter la production d’oléoyléthanolamide chez les rongeurs, une hormone qui agit comme transmetteur des signaux de satiété et qui, par conséquent, diminue l’appétit. Selon les auteurs de l’étude, un apport approprié en acide oléique pourrait contribuer à prolonger l’intervalle entre les repas et s’avérer utile dans la lutte contre l’excès de poids. La prudence est toutefois de mise, selon Angelo Tremblay, chercheur en nutrition à l’Université Laval. « La découverte est certes intéressante, mais il y a encore beaucoup de recherches cliniques à faire avant de conclure qu’un apport systématique en acide oléique peut véritablement entraîner une perte de poids chez les personnes souffrant d’embonpoint. » Mentionnons que l’huile d’olive peut être utilisée aussi bien crue, en remplacement du beurre ou dans une vinaigrette, par exemple, que pour la cuisson.

Une fondation pour le COVABAR

jeudi, 06 novembre 2008 19:00 | Publié dans la rubrique Environnement

Le président du Comité de concertation et de valorisation de la rivière Richelieu (COVABAR), M. Hubert Chamberland, a annoncé le 18 septembre dernier la mise en place de la Fondation COVABAR H20. La fondation assurera un meilleur financement du Comité qui, depuis l’adoption de la Politique nationale de l’eau du Québec, reçoit un montant annuel de 65 000 $ non indexé ni augmenté depuis 2002. La Fondation COVABAR H20 recueillera les fonds de toute autre provenance que des gouvernements. Quant aux fonds gouvernementaux, ils ne seront pas versés à la fondation puisqu’ils sont ordinairement liés à une obligation de résultats auxquels le comité de bassin est tenu. Pour le président Hubert, Chamberland, l’objectif premier est de tendre à réduire le sous financement chronique que vit le COVABAR depuis sa création en 2000. Ainsi, le C.A. de la Fondation se concentrent actuellement à concrétiser ses assises de façon à ce que se réalise sa mission dans les meilleurs délais. Dorénavant, toutes les activités de financement touchant la gestion par bassin versant de la rivière Richelieu seront animées par la Fondation libérant ainsi le Comité de bassin de la tâche de solliciter des Fonds, de façon continue. « Ce qui, jusqu’à ce jour, freine dramatiquement le COVABAR dans la réalisation du Plan directeur de l’eau du bassin de la rivière Richelieu », selon le Comité.

Chronique humeur - Obama devra faire vite

jeudi, 06 novembre 2008 19:00 | Publié dans la rubrique Humeur
Les yeux du monde entier étaient tournés vers l’Amérique. De l’Australie au Brésil, du Moyen-Orient au Canada, une majorité claire espérait voir les États-Unis entrer dans une nouvelle ère. Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’Amérique n’a pas déçu. Cela dit, le nouveau président américain devra faire vite. Vite, car il devra prouver rapidement que le mot changement n’était pas qu’un slogan mais bien un objectif. La pression est sur Obama, c’est certain. Plusieurs diront qu’il n’a d’autres choix que de décevoir, compte-tenu des formidables attentes fondées en lui. Le raisonnement est valable cependant, on devra donner à Obama les quelques mois nécessaires à la mise en place d’un vrai changement de cap. Pas que les résultats seront ressentis d’ici les 12 prochains mois, loin de là. Mais qu’on puisse à tout le moins constater un changement d’attitude dans la politique extérieure américaine. Un tel changement qui amènerait graduellement un revirement dans la perception du monde entier envers les États-Unis. Une perception que trop souvent bafouée durant l’ère W. Lors de son discours, le nouveau  président a indiqué que l’Amérique allait réussir à s’en sortir, que cela prenne un mandat ou deux. C’est bien, mais malheureusement, l’opinion internationale ne saura attendre aussi longtemps. L’Occident peut se permettre d’attendre. Les pays en voie de développement, non. Les actions devront être concrètes et rapides. La pression est sur Obama. Il n’a pas le droit à l’erreur. Ce sera difficile, mais avec les Américains, tout est possible. Oh yes, they can.

Le mois de la pomme de terre

mardi, 04 novembre 2008 19:00 | Publié dans la rubrique Foodies

Pour une deuxième année consécutive, les Québécois sont invités à redécouvrir la pomme de terre durant le mois de novembre, un légume nutritif aux nombreux avantages. Cette invitation est lancée par les producteurs et les emballeurs de pommes de terre du Québec. Malgré sa grande popularité, la pomme de terre est encore trop souvent liée à certains préjugés tenaces. Pourtant, elle regorge de vitamine C et de vitamines B1, B3 et B6 en plus d’être une excellente source de potassium, de fer, de magnésium et de fibres. Novembre, mois de la pomme de terre, marque la fin de l’Année internationale de la pomme de terre, instituée par les Nations Unies afin de permettre au monde entier de prendre conscience du rôle clé de ce légume comme élément de réponse aux grands problèmes mondiaux tels que la malnutrition, la pauvreté et les menaces pour l’environnement. Polyvalente, savoureuse et peu coûteuse, la pomme de terre se prête à de nombreuses recettes, de la plus simple à la plus gastronomique, et elle est parfaite pour le temps des Fêtes. Au Québec, 400 producteurs se spécialisent dans la culture de la pomme de terre, ce qui place la province au 5e rang parmi les provinces canadiennes pour la production. La production de la pomme de terre au Québec représente une industrie de 100 M$.