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jeudi, 23 octobre 2008 20:00

Du cœur à l’assiette

La Maison Simonne Monet-Chartrand tenait mercredi soir au restaurant Fourquet Fourchette son cocktail de financement annuel. Une occasion en or de lancer sa toute nouvelle réalisation : un livre de recettes rapides, santé et peu coûteuses.
La soirée se tenait à l’occasion du 10e anniversaire du restaurant Fourquet Fourchette. Le chef du restaurant, François Pellerin, en était d’ailleurs le président d’honneur. Une centaine de convives se sont présentés, alors que 80 exemplaires du livre de recettes « Du cœur à l’assiette » ont été vendus. « C’est un projet qu’on voulait réaliser depuis longtemps. On vise entre autres les jeunes femmes qui ont parfois de la difficulté avec la cuisine. Les recettes qui s’y trouvent sont santé, rapides à faire et peu coûteuses », a indiqué hier la directrice de la Maison Simonne Monet-Chartrand, Mme Monique Simard. Un vingtaine d’artistes ont contribué au livre avec leurs recettes personnelles, dont Jean-Michel Anctil, Isabelle Blais, Josée Di Stasio et bien sûr, Francois Pellerin. À la fin du livre, on retrouve de l’information sur la violence. C’est Mme Marie-Michèle Mahas, de Les épices de Marie Michèle sur la rue Bourgogne à Chambly, qui a réuni le tout dans un seul ouvrage.

mardi, 30 septembre 2008 20:00

Dix aliments qui « rendent intelligent » !

Saviez-vous que l’appétit du cerveau est dix fois plus grand que celui des autres organes ? Pour fonctionner, il utilise à lui seul pas moins de 20 % de l'apport calorique de la journée. Certains aliments sont à mettre au menu pour être sûr d'apporter au cerveau ce dont il a besoin. D’abord, les poissons gras, notamment le saumon, sont excellents, puisque leurs graisses sont capitales dans la construction et l'entretien des cellules tout en préservant la fluidité des membranes. Les légumes secs sont riches en sucres complexes et permettent de régulariser le taux de glucose dans le sang et d'en approvisionner le cerveau sans créer d'hypoglycémie réactionnelle. Le foie est une des sources les plus importantes en vitamines du groupe B. Depuis le milieu des années 80, il a été montré que ses vitamines, surtout la B9, B12, B1 et B6, améliorent les fonctions cognitives et les résultats des tests d'intelligences. Les fruits rouges (cassis, fraises, framboises, myrtilles, groseilles, mûres, etc.) sont de véritables mines de vitamine C. Ensemble, ils luttent non seulement contre les radicaux libres mais ils améliorent également la circulation et renforcent les petits capillaires sanguins, ce qui permet une meilleure oxygénation du cerveau.

mardi, 09 septembre 2008 20:00

Une boisson contre l’Alzheimer ?

L’entreprise Danone Research vient de franchir une nouvelle étape dans la lutte contre la maladie d'Alzheimer. Sa nouvelle boisson Souvenaid, enrichie en nutriments, permettrait d'améliorer les fonctions cognitives des personnes atteintes de la maladie. Cela fait maintenant près de 10 ans que l'équipe de recherche travaille sur le rôle potentiel de certains nutriments dans le traitement de maladies neurologiques. La dernière étude clinique s'est déroulée en 2006, après une première phase d'expérimentation et d'évaluations toxicologiques. Elle a été réalisée sur 212 personnes atteintes de la maladie et a mis en évidence l'efficacité du concept. L'investigation a été dirigée par le professeur Scheltens, directeur du Centre Alzheimer au sein du Centre Médical de l'université Vu à Amsterdam. Ces résultats encourageants ont été présentés au Congrès International sur la maladie d'Alzheimer à Chicago. Danone Medical Nutrition entend maintenant poursuivre son programme de développement en réalisant une deuxième étude, dès cette année, sur cette nouvelle boisson. Contrairement à la croyance populaire, la maladie d'Alzheimer ne fait pas partie du processus naturel de vieillissement.

Une étude de l’Université de l’Ouest de l’Ontario a révélé le mois dernier que le fait de boire du jus de pomme, d’orange ou de pamplemousse peut réduire considérablement la capacité du corps humain à absorber certains médicaments, notamment dans le cas de problèmes graves comme le cancer et les maladies du cœur. Les jus entreraient en interaction avec près de 50 médicaments, pouvant leur faire perdre jusqu'à 50 % d'efficacité. Mentionnons notamment les toposides (agents anti-cancéreux), l'aténolol, le céliprolol et le talinolol (contre l'hypertension artérielle); les ciprofloxacines, levofloxacines et itraconazoles (antibiotiques). Le problème, c’est que les jus inactiveraient un enzyme responsable du passage de certaines molécules à travers le tube digestif. Le professeur David G. Bailey et son équipe avaient précédemment prouvé que le jus de pamplemousse pouvait accroître l'absorption de certains médicaments, mais entraînait des effets secondaires néfastes au point parfois de les rendre toxiques. Les scientifiques ont poursuivi leurs travaux sur les effets des jus de fruits en interaction avec des molécules.

Avec la mise en garde du ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, Gerry Ritz, que le nombre de cas suspects et de cas confirmés de listériose pourrait augmenter au cours des prochaines semaines au Canada, à la suite de la contamination d’aliments contenant des viandes préparées Maple Leaf, plusieurs personnes se demandent quels sont les symptômes de cette maladie qui a joué un rôle dans la mort de 12 personnes au pays au cours des dernières semaines. Selon l’agence canadienne d’inspection des aliments, les symptômes sont, entre autres, des symptômes pseudo-grippaux, des nausées, des vomissements, des crampes, de la diarrhée, des maux de tête, de la constipation et une fièvre persistante. Ils apparaissent habituellement de 2 à 30 jours, et parfois jusqu’à 70 jours, après la consommation de l’aliment contaminé.

mardi, 24 juin 2008 20:00

Tendance vers la viande bio

De plus en plus de gens consomment bio et la viande n’échappe pas à cette tendance. Selon la Fédération d’agriculture biologique du Québec (FABQ), la production biologique connaît une forte croissance depuis les dix dernières années dans la province, et ce, dans l’ensemble des secteurs de production. Au Québec, la production de viande biologique est diversifiée (bovins, vaches, veaux, porcs, poulets, agneaux et œufs de consommation). On dénombre également des producteurs de dindes, de canards, d’oies, de chèvres, de lapins et de grands gibiers biologiques.Chaque production animale a ses particularités quant aux soins vétérinaires, aux techniques d’élevage, aux normes environnementales et à la mise en marché. L'élevage biologique exige que les animaux bénéficient de conditions de vie naturelles: air frais, lumière du jour, espace pour faire de l'exercice, alimentation équilibrée, composée de grains et de produits exempts de pesticides ou d'engrais chimiques. Évidemment, pas question d'utiliser d'hormones de croissance, d'antibiotiques ou d'organismes génétiquement modifiés (OGM). Ce traitement doit toutefois se payer plus cher sur le marché, alors que la viande biologique peut parfois se vendre jusqu’à 90 % plus cher que la viande d'élevage industriel. Une différence qu'on justifie par les coûts plus élevés qu’amènent les meilleurs soins.

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