• mardi, 05 novembre 2024 05:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales

    Un grand excès de vitesse à Saint-Césaire

    Un grand excès de vitesse à Saint-Césaire

    La Sûreté du Québec informe la population que le 26 octobre dernier, peu avant 21 h, les policiers du poste de la MRC de Rouville ont intercepté un véhicule circulant en grand excès de vitesse sur la route 112, à Saint-Césaire. Le conducteur a été capté alors qu’il circulait à 176 km/h dans une zone de 90 km/h.

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Valérie Tétreault a franchi avec succès le premier tour des qualifications aux Internationaux des Etats-Unis en disposant de l’Ukrainienne Julia Vakulenko en deux manches de 6-4 et 7-6 (7), mercredi. «C’est une première victoire qui se prend bien!, a déclaré la joueuse de Saint-Jean-sur-Richelieu. Ce n’était pas un match facile et elle cognait très fort en plus d’avoir un gros service. Je suis très satisfaite de ma performance et j’avais hâte de jouer. J’ai bien géré mes émotions et je ne me suis fait briser qu’une seule fois.» a-t-elle affirmé à la Presse Canadienne.
Tétreault affirme vivre à fond sa première expérience à un tournoi du Grand Chelem. À 21 ans, c’est la première fois qu’elle tente de se qualifier pour un tournoi d’une telle envergure. «Disons que c’est différent des tournois Challenger, a commenté Tétreault. La dernière fois que j’ai joué ici, c’était il y a quatre ans, alors que j’étais chez les juniors. Jouer chez les professionnelles à l’US Open, c’est un rêve de jeunesse et mon but ultime est de me rendre au tableau principal. Je vais prendre un match à la fois. Il ne m’en reste que deux.» Tétreault sera opposée à la Tchèque Karolina Sprem, 14e tête de série du tableau des qualifications, en deuxième ronde, jeudi.

Voilà bientôt six ans que les promoteurs du projet préparent le lancement de la Ferme Guyon. Un centre horticole unique au Québec spécialisé en plantes indigènes. La première pelletée de terre a finalement eu lieu.
C’est jeudi en avant midi que André Dion, Fondateur de la Brasserie Unibroue et copromoteur du projet avec ses fils Jean-François et Sébastien, a finalement donné le coup d’envoi aux travaux de construction qui devraient se terminer d’ici le mois de mai 2010. À ce moment, plus de 8 millions de dollars auront été investis dans cette aventure qui devrait créer environ 50 nouveaux emplois à Chambly. En plus du bâtiment de 2 200 mètres carrés qui servira à la vente de plantes indigènes (Plantes s’adaptant pleinement au climat canadien) et à ses produits dérivés, le site sera muni d’une grange historique (ayant été sauvegardée suite à l’incendie du restaurant Les fous de Bassin)  où seront mis en vente des produits du terroir, une fermette avec animaux ainsi que des jardins thématiques.

Le dimanche 30 août, le Fort-Chambly invite le public à rencontrer le tonnelier Pascal Plamondon, un artisan d’époque qui pratique un métier presque disparu aujourd’hui. De 13 h à 17 h, le tonnelier réalise devant les visiteurs les multiples étapes d’assemblage et de construction de ces précieux contenants de bois que sont les tonneaux et les barils. Il y a quelques décennies, tonneaux, fûts et barriques faisaient partie de la vie de tous les jours. Jusqu’au XIXe siècle, ces contenants pansus, de dimensions variées, constituaient des moyens de transport de marchandises absolument indispensables. Les commerçants de poisson, de farine et de blé de même que les fabricants de bière, de biscuits et de poudre noire se servaient exclusivement de tonneaux de bois pour expédier leurs produits. Certains marchands employaient même des tonneliers à temps plein afin de pourvoir adéquatement aux besoins de leurs entreprises. Cette activité sera l’avant dernière de la programmation Le Fort Chambly s’endimanche. La saison se conclura le 6 septembre prochain avec Le temps des récoltes. Deux animateurs en costume d’époque lèveront le voile sur les activités domestiques chez l’habitant en Nouvelle-France, au temps des récoltes, vers 1750.

Colision frontale sur Bourgogne

mardi, 25 août 2009 20:00

Les cinq victimes d’une collision presque frontale qui a eu lieu sur l’avenue Bourgogne mardi matin à 9 h, s’en sont toutes sorties avec des blessures mineures.
Pour une raison encore inconnue, une conductrice d’une trentaine d’année de St-Jean-sur-Richelieu serait sortie de sa voie à la hauteur de la rue Caron. Dans la voiture qui arrivait en sens inverse, prenait place deux adultes et deux enfants de 2 et 8 ans. Heureusement, bien que tous soient partis en ambulance, tout le monde s’en est sorti avec des blessures mineures. Selon les policiers, les ceintures de sécurités auraient contribué à blesser les occupants mais les auraient également sauvé: « C’était pratiquement un face à face. Sans ceinture, un enfant peu facilement passer à travers une fenêtre» a expliqué le Sergent Pierre Tremblay de la Régie de police Richelieu St-Laurent.

De la cueillette à l’assiette

mardi, 25 août 2009 20:00

Salicorne, thé du labrador, boutons de marguerites, amélanches, coprins chevelus, épis de quenouilles, asclépiades, pourpier, gingembre sauvage, orties, voilà autant de délices que Gérald Le Gal nous fait découvrir dans le livre Aventure sauvage, de la cueillette à l’assiette. Ceux qui ont suivi la série d’émissions Coureurs des bois, à TéléQuébec, retrouveront ce Franco-Manitobain établi dans les Laurentides et dont l’entreprise Gourmet sauvage assure depuis 1993 la récolte et la transformation, à des fins culinaires, des plantes sauvages comestibles du Québec. Certains grands chefs apprécient les conseils de Le Gal mais également un nombre croissant de cuisiniers du dimanche qui découvrent avec enthousiasme cette façon originale et naturelle de s’alimenter. Dans le livre, Gérald Le Gal nous entraîne dans un boisé des Laurentides, une clairière du Saguenay ou une «talle» de chicoutai du Grand Nord, appellé Plaquebière par les gens de la région, pour nous apprendre à identifier, puis récolter avec respect les plantes comestibles. Les enseignements de cet écologiste vous feront apprécier le patrimoine sauvage.
Le livre possède également un répertoire de recettes faciles à cuisiner.

La Ville de Chambly  obtiendra une subvention de 10 000 $ du Fonds Écomunicipalité IGA, afin de réaliser le projet Pour que tout le monde recycle dans les parcs municipaux ! dès l’automne. Dans le cadre de ce projet, la Ville de Chambly implantera des unités de récupération multimatières, qui seront installées en permanence dans six lieux publics de la municipalité. L’objectif est d’inciter les gens à récupérer et intégrer ce geste au quotidien, notamment dans les lieux publics. Les endroits ciblés seront des zones d’achalandage élevé, rejoignant les clientèles touristique, sportive, culturelle, de plein air, ainsi que de transit pour le transport en commun. Il est à noter que ce projet sera rendu possible grâce à la contribution du Fonds Écomunicipalité IGA et du Jour de la Terre. Le Fonds Écomunicipalité IGA se veut un levier du développement durable pour les collectivités québécoises. Il servira à financer plus d’une centaine de projets environnementaux qui répondent concrètement aux réalités du milieu à travers le Québec.  Les municipalités du Québec, ainsi que les organismes non gouvernementaux en environnement (ONGE) et les établissements d’enseignement, appuyés par leur municipalité, peuvent présenter leurs demandes de financement en remplissant le formulaire d’application. 

Naviguer en kayak sur le Bassin de Chambly un lundi soir caniculaire où seul un croissant de lune éclaire une magnifique rivière d’huile semble tenir plutôt de l’expérience mystique que d’une randonnée organisée par la Ville de Chambly.
« C’est zen non? » Voici la phrase la plus souvent dite au cours de ce voyage de deux heures à 5 minutes de Chambly. Bien plongée dans les chenaux de Carignan, une balade en forêt n’aurait pas été plus calme. Trois minutes après notre départ au crépuscule du Centre aquatique Gervais-Désourdy, un énorme poisson nous indique clairement que l’heure de la chasse est arrivée et qu’il n’a pas l’intention de faire attention aux intrus munis d’une lampe frontale. Le dépaysement est total... si l’on ne regarde pas l’avenue Bourgogne qui grouille juste derrière nous. Calme est le mot d’ordre. Notre guide, Marie-Ève, qui prend le temps de nous expliquer le mode de vie et de reproduction des canards et autres bêtes, prend, dès le départ, un ton doux que personne n’aura envie d’enterrer.

Le centre horticole Guyon débutera officiellement la construction de ses installations jeudi lors d’une cérémonie qui aura lieu pour souligner l’événement.
Le projet, initié et réalisé par André Dion (Fondateur de la brasserie Unibroue) et ses fils Jean-François et Sébastien Dion, a nécessité des investissements totaux de près de 8 million de dollars. Une fois en marche, le centre devrait embaucher plus de cinquante personnes.
Quelque 110 000 mètres carrés de superficie seront nécessaires à l’aboutissement du projet qui devrait comprendre un bâtiment principal, une grange historique, un ferme animale, des jardins thématiques ainsi qu’une boutique d’artisanat québécois.
Le projet vise à diffuser les connaissances agricoles et environnementales des Amérindiens et des premiers colons d’Amérique dans le respect de l’environnement. 

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