Chambly Matin - Journal le Chambly Matin, Montérégie Quotidien

Guylaine Lebel
Les amateurs de hockey de Chambly auront la chance d’assister à un match des légendes dimanche à l’aréna Robert-Lebel. C’est peut-être une des dernières chances de voir à l’œuvre Guy Lafleur, qui quittera l’équipe à la fin de la présente saison. Vous vous leviez de votre siège au Forum, au Colisée ou dans votre salon lorsque Guy Lafleur touchait à la rondelle? Vous pourrez revivre ou faire découvrir aux plus jeunes, cette merveilleuse époque du hockey de la Ligue nationale alors que le Démon blond lui-même, affublé de ses cinq bagues de la Coupe Stanley et plusieurs légendes de la LNH évolueront sur la glace chamblyenne. Ces légendes vivantes auront la chance de jouer une partie amicale contre les pompiers de Chambly-Carignan.
Jeunes et moins jeunes amateurs de hockey sur glace auront la chance de voir jouer des personnalités aussi célèbres que Stéphane Richer, Pierre Sévigny, Gilbert Delorme, Dave Morissette, Karl Dykhuis, Sergio Momesso, Enrico Ciccone, André Dupont, Daniel Marois, Yvon Lambert et Patrice Brisebois. Ce dernier jouait encore pour le Tricolore l’année dernière. Ces légendes qui ont marqué notre sport national sont toujours aussi impressionnantes et la population est invitée à les rencontrer.
C’est Camille Dubé, journaliste bien connu du monde de la télé qui animera la partie. De son côté, celui qui a interprété l’hymne national au Forum de Montréal durant de nombreuses années, André Ouellet, de la région, récidivera pour l’occasion.

Les critères de réussite et de la performance pèsent aussi sur nos enfants, au point d’oublier que l’école est un endroit d’évolution et d’apprentissages gratifiants. L’apprentissage passe aussi par les erreurs, les aptitudes à développer ainsi que les essais. C’est ce qui fait grandir vos enfants. Permettez à votre enfant de se tromper et rassurez-le davantage sur ses bons coups.
Prenez rendez-vous avec le professeur
Mettez en place un suivi régulier professeur-parent concernant ses capacités et faites le bilan de ses difficultés. Établissez des moyens susceptibles de le faire cheminer. Le suivi scolaire régulier est nécessaire au bon fonctionnement. Concernant la lecture et l’écriture, il ne faut pas hésiter à consulter un spécialiste, tel qu’une orthophoniste, si votre enfant confond les sons ou prononce difficilement certaines syllabes.
Établissez des règles claires et constantes
Votre enfant a besoin de rituels et de cohérence pour se sentir structuré dans sa vie quotidienne. Instaurer un rite de détente durant la journée ou suivre de près ses devoirs optimisera ses chances de réussite. Les consignes et les attentes doivent être stables.
Soyez souple, réaliste et créatif !
Faire les devoirs ne doit pas être une corvée, mettez des formes divertissantes dans les leçons comme des mimes, des chansons, des inventions. La meilleure pédagogie passe toujours par le jeu, l’humour, et faites comprendre à votre enfant que lire est une découverte enrichissante. Prenez goût à ce qu’il apprend en respectant son rythme et ses besoins.
Ayez des exigences raisonnables
Si vous vous acharnez sur les résultats de votre enfant, il le sentira et l’anxiété prendra le dessus. Un enfant qui sent des attentes parentales trop élevées, et qui est sans cesse renvoyé à ce qu’il rate, va perdre confiance en lui et risque de se replier sur lui-même. Rappelez-lui, que vous aussi, vous avez été enfant, et que vous avez surmonté vos difficultés.
Soyez chaleureux et positif
Poser un regard positif et accueillant sur ce que votre enfant fait, surtout quand il est en difficultés, c’est ce qu’il l’aidera le plus. Donnez-lui votre fierté, montrez-lui que vous êtes présent et cherchez ensemble des solutions pour améliorer les lacunes. Consacrez-lui des moments personnels, ayez des échanges fructueux, et ce, en dehors des devoirs.

Marie-Josée Lépine est éducatrice
spécialisée, intervenante en délinquance et
étudiante en adaptation scolaire  au primaire. Si vous avez des questions ou des  commentaires : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Guylaine Lebel
Intégrée à une alimentation équilibrée, la nourriture grasse de la restauration rapide peut être perçue comme un excès ponctuel. Pour limiter l’impact sur votre ligne, quelques conseils peuvent vous aider.
Lorsque l’on sait qu’un menu peut contenir jusqu’à 1500 calories, il vaut mieux savoir doser ses portions. Il vaut mieux préférer les menus classiques aux « grands » menus. Préférez les sandwiches au poulet à ceux au bœuf et sachez reconnaître les aliments les plus gras. Petite liste des denrées à éviter : hamburgers élaborés, frites, croquettes de poulet ou poisson, etc. Ne consommez pas tous ces aliments à la fois, choisissez-en un et optez pour des produits moins gras en complément. Oubliez toutes les boissons gazeuses normales et préférez-leur des sodas « diète » ou de l’eau. Vous pouvez également prendre un jus de fruits.
À 350 calories pour un cornet de crème glacée, vous comprendrez aisément que l’on vous conseille de privilégier plutôt les salades de fruits.
Il n’est pas rigoureusement mal de manger dans une chaîne de restauration rapide tant que vous faites attention à ce que vous avalez. Il faut également que vous équilibriez vos repas de la journée en fonction de votre excès du midi ou du soir et que votre fréquentation de ce type d’établissements reste occasionnelle.

Guylaine Lebel
Plusieurs abris sont maintenant installés sur la rivière L’ Acadie. La température semble être parfaite pour la pratique de la pêche blanche, toutefois, certaines règles de sécurité s’imposent pour éviter le drame.
On doit d’abord vérifier l’épaisseur de la glace avant de s’aventurer sur celle-ci. Avant de circuler sur la glace, il faut mesurer l’épaisseur. On doit prendre des prélèvements à différents endroits,  afin de s’assurer qu’elle est suffisamment épaisse pour supporter votre poids, celui de votre équipement de pêche et celui de votre moyen de transport. Idéalement, l’épaisseur doit être uniforme pour assurer votre sécurité. De nombreux facteurs peuvent influencer cette donnée. Il y a d’abord le type de plan d’eau. Est-ce un lac, une rivière, un réservoir? Quelles sont les variations climatiques des dernières semaines? Les courants, les marées, les fluctuations dans les niveaux d’eau sont également des facteurs à prendre en considération.

Chaque année c’est la même chose. Chaque an, on s’y fait prendre, on espère, on fait des projets. On se prend à rêver de bermudas, de chemises en lin et vlan! Le redoux de janvier est déjà terminé.C’est année, j’ai décidé de ne pas me faire prendre. Notez qu’il est à peu près temps étant donné mes 35 ans! Je suis restée de glace (sans jeux de mots) devant les fausses promesses de Dame Nature.
Non, cette année je n’ai pas cru que pour la première fois de mon existence, je m’en sauverais avec seulement trois pelletages d’entrée en une saison hivernale. Je ne me suis pas laissé aveugler par cette pluie des derniers jours qui a donné à ma voiture des allures printanières et qui a fait sortir les rivières de leur lit.
Ha que non, car je connais la bête. Cette bête qui revient tous les hivers et qui revêt son grand manteau blanc. Cet ennemi qui se déchaîne sur nos têtes tous les mois de mars, le mois des fameuses tempêtes. Je vous préviens, non, nous ne sauterons pas notre tour. Comme chaque année, nous allons y goûter. Oubliez les changements climatiques, le réchauffement global, l’Antarctique qui fond, les pingouins qui suent. Nous sommes au Québec et nous gèlerons encore et encore.
Je me souviens de cette conversation que j’avais eue avec cette Haïtienne il y a quelques années; elle disait qu’elle adorait vivre ici, mais qu’elle ne s’était jamais réellement faite au climat. J’ai des nouvelles pour elle, même quand on est né ici, on ne s’habitue pas! On a beau dire qu’on est nordiques, forts et pas « frileux », une chose est certaine, l’hiver est trop long!

L’acteur Richelois Jeff Boudreault ainsi que sa conjointe, font partie du groupe d’heureux parents à avoir eu la chance de recevoir leur enfant d’Haïti mercredi. L’avion transportant un groupe de 52 enfants haïtiens adoptés par des Canadiens s’est posé à l’aéroport d’Ottawa, un peu avant 14 h. Leur arrivée marque la fin d’une interminable période d’attente pour leurs nouveaux parents, qui ont entrepris les démarches visant à les adopter il y a plusieurs mois, voire des années. Au fil des jours, Jeff Boudreault s’était fait le porte-parole de tous ces gens en attente.
Emmitouflés dans des couvertures chaudes, les enfants sont descendus de l’avion aux bras d’accompagnateurs qui se trouvaient à bord du vol. Ils ont été remis à leurs parents dans une salle qui leur était réservée, à l’abri des caméras.
« C’est un moment inoubliable, a confié une mère, émue de tenir enfin sa fille dans ses bras. Les deux semaines qu’on a passées ont été interminables. On était inquiets. Il y avait une montée de la violence en Haïti. [...] Je peux vous dire que cette enfant a vécu plus de choses que moi, à 43 ans. C’est une battante et on est très fière d’elle. »
Les enfants sont arrivés au pays à bord d’un Airbus A330 qui avait décollé de Montréal dans la nuit de mardi à mercredi pour se rendre à Port-au-Prince.

C’est un prochain défi des plus enlevants qui attend deux agents immobiliers de Chambly au mois de mars. Elles doivent d’abord trouver du financement pour cette aventure extraordinaire. Les agents immobiliers Nathalie Campagna et Nicole Turcot, qui partiront en mars dans le désert du Maroc pour participer au Rallye Aicha Les Gazelles, organisent ce soir une soirée de financement. L’événement aura lieu à 19 h à la salle Marcelle-Dulude de St-Bruno. Les participants auront droit à un souper, un dj et une soirée casino. Vous pouvez réserver vos billets en téléphonant au: 514-831-9997.L’aventure, qui risque d’être enrichissante sur le plan personnel pour les deux femmes, coûte quand même quelque 40 000 dollars. Loin de se décourager, elles injecteront chacune 5 000 dollars et proposeront à des compagnies de les commanditer, en plus de l’activité de ce soir « Si tout se passe bien et que nous dépassons nos objectifs, nous verserons le surplus au Relais pour la vie de la Société canadienne du cancer » explique Nathalie Campagna. «Il reste encore de l’espace sur notre véhicule si jamais certaines entreprises désirent afficher leur logo », ajoute-t-elle.

Tout d’abord, il faut choisir les bons sous-vêtements. Ceux-ci peuvent, s’ils sont mal ajustés, déformer votre silhouette et vous donner des courbes disgracieuses. N’hésitez pas à demander l’aide d’une conseillère lorsque vous essayez des sous-vêtements en magasin. Attention de ne pas vous laisser tenter par une marque parce qu’elle est en vogue. Il est préférable de choisir un vêtement pour sa coupe. Choisissez des styles qui vous vont bien et qui mettent en valeur votre silhouette. 
Ensuite, quand vous magasinez prenez le temps de choisir vos vêtements, offrez-vous toujours la meilleure qualité que vous pouvez vous permettre. Voici des trucs pour reconnaître la qualité; le tissu est-il uniforme ou a-t-il des défauts? Les coutures sont-elles bien cousues et solides? Est-ce que les fermetures à glissière fonctionnent bien? Le vêtement est-il doublé? Est-ce que les détails (comme les poches) sont vrais? En vérifiant ces petites choses, vous ferez de meilleurs achats.
De plus, optez pour un style qui vous ressemble et évitez de vouloir vous approprier un style qui ne convient pas à votre personnalité. Analyser votre silhouette pour mettre en valeur vos atouts et camoufler vos complexes. Des stylistes professionnels peuvent vous aider au besoin et souvent ce service est plutôt abordable.