• mardi, 05 novembre 2024 05:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales

    Un grand excès de vitesse à Saint-Césaire

    Un grand excès de vitesse à Saint-Césaire

    La Sûreté du Québec informe la population que le 26 octobre dernier, peu avant 21 h, les policiers du poste de la MRC de Rouville ont intercepté un véhicule circulant en grand excès de vitesse sur la route 112, à Saint-Césaire. Le conducteur a été capté alors qu’il circulait à 176 km/h dans une zone de 90 km/h.

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Chronique humeur - Obama devra faire vite

jeudi, 06 novembre 2008 19:00
Les yeux du monde entier étaient tournés vers l’Amérique. De l’Australie au Brésil, du Moyen-Orient au Canada, une majorité claire espérait voir les États-Unis entrer dans une nouvelle ère. Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’Amérique n’a pas déçu. Cela dit, le nouveau président américain devra faire vite. Vite, car il devra prouver rapidement que le mot changement n’était pas qu’un slogan mais bien un objectif. La pression est sur Obama, c’est certain. Plusieurs diront qu’il n’a d’autres choix que de décevoir, compte-tenu des formidables attentes fondées en lui. Le raisonnement est valable cependant, on devra donner à Obama les quelques mois nécessaires à la mise en place d’un vrai changement de cap. Pas que les résultats seront ressentis d’ici les 12 prochains mois, loin de là. Mais qu’on puisse à tout le moins constater un changement d’attitude dans la politique extérieure américaine. Un tel changement qui amènerait graduellement un revirement dans la perception du monde entier envers les États-Unis. Une perception que trop souvent bafouée durant l’ère W. Lors de son discours, le nouveau  président a indiqué que l’Amérique allait réussir à s’en sortir, que cela prenne un mandat ou deux. C’est bien, mais malheureusement, l’opinion internationale ne saura attendre aussi longtemps. L’Occident peut se permettre d’attendre. Les pays en voie de développement, non. Les actions devront être concrètes et rapides. La pression est sur Obama. Il n’a pas le droit à l’erreur. Ce sera difficile, mais avec les Américains, tout est possible. Oh yes, they can.

Une fondation pour le COVABAR

jeudi, 06 novembre 2008 19:00

Le président du Comité de concertation et de valorisation de la rivière Richelieu (COVABAR), M. Hubert Chamberland, a annoncé le 18 septembre dernier la mise en place de la Fondation COVABAR H20. La fondation assurera un meilleur financement du Comité qui, depuis l’adoption de la Politique nationale de l’eau du Québec, reçoit un montant annuel de 65 000 $ non indexé ni augmenté depuis 2002. La Fondation COVABAR H20 recueillera les fonds de toute autre provenance que des gouvernements. Quant aux fonds gouvernementaux, ils ne seront pas versés à la fondation puisqu’ils sont ordinairement liés à une obligation de résultats auxquels le comité de bassin est tenu. Pour le président Hubert, Chamberland, l’objectif premier est de tendre à réduire le sous financement chronique que vit le COVABAR depuis sa création en 2000. Ainsi, le C.A. de la Fondation se concentrent actuellement à concrétiser ses assises de façon à ce que se réalise sa mission dans les meilleurs délais. Dorénavant, toutes les activités de financement touchant la gestion par bassin versant de la rivière Richelieu seront animées par la Fondation libérant ainsi le Comité de bassin de la tâche de solliciter des Fonds, de façon continue. « Ce qui, jusqu’à ce jour, freine dramatiquement le COVABAR dans la réalisation du Plan directeur de l’eau du bassin de la rivière Richelieu », selon le Comité.

Le mois de la pomme de terre

mardi, 04 novembre 2008 19:00

Pour une deuxième année consécutive, les Québécois sont invités à redécouvrir la pomme de terre durant le mois de novembre, un légume nutritif aux nombreux avantages. Cette invitation est lancée par les producteurs et les emballeurs de pommes de terre du Québec. Malgré sa grande popularité, la pomme de terre est encore trop souvent liée à certains préjugés tenaces. Pourtant, elle regorge de vitamine C et de vitamines B1, B3 et B6 en plus d’être une excellente source de potassium, de fer, de magnésium et de fibres. Novembre, mois de la pomme de terre, marque la fin de l’Année internationale de la pomme de terre, instituée par les Nations Unies afin de permettre au monde entier de prendre conscience du rôle clé de ce légume comme élément de réponse aux grands problèmes mondiaux tels que la malnutrition, la pauvreté et les menaces pour l’environnement. Polyvalente, savoureuse et peu coûteuse, la pomme de terre se prête à de nombreuses recettes, de la plus simple à la plus gastronomique, et elle est parfaite pour le temps des Fêtes. Au Québec, 400 producteurs se spécialisent dans la culture de la pomme de terre, ce qui place la province au 5e rang parmi les provinces canadiennes pour la production. La production de la pomme de terre au Québec représente une industrie de 100 M$.

93 nouveaux emplois à Marieville

lundi, 03 novembre 2008 19:00

L’entreprise Sivaco Québec de Marieville a annoncé vendredi la création de 93 nouveaux postes d’ici deux ans. En compagnie de M. André Riedl, député d’Iberville, le président-directeur général de l’entreprise qui fabrique et distribue des fils métalliques et produits tréfilés, M. Bernard Guay, a annoncé un plan pour la formation de 163 employés, dont le maintien de 70 personnes. « Grâce à cet investissement, Sivaco pourra réaffirmer sa place dans le domaine des produits tréfilés. Pour nous, la solution face à la concurrence des pays émergents se trouve dans la formation de notre main-d’œuvre. C’est en améliorant constamment les compétences de nos travailleurs que nous pourrons demeurer compétitifs et même percer de nouveaux marchés », a déclaré M. Guay. L’entreprise investit plus de 650 000 $ dans ce plan de formation. Le gouvernement du Québec y ajoute une somme de 218 000$ par l’entremise d’Emploi-Québec. Au cours des deux prochaines années, Sivaco formera elle-même sa main-d’œuvre en deux étapes, par un volet théorique dans un premier temps et par compagnonnage dans un deuxième temps.

C’est bien connu, réduire sa consommation de sel est bénéfique pour la santé. Mais comment savoir où s’arrêter ? Des études démontrent que nous devrions consommer entre 2 et 3 grammes de sodium par jour, c’est-à-dire une seule cuillère à thé de sel de table. Pourtant, certaines recherches ont constaté que la population nord-américaine consomme plutôt de 3 à 7 grammes de sodium de façon quotidienne. Par ailleurs, des chercheurs canadiens ont établi qu’en limitant les additifs alimentaires en sodium, que l’on retrouve habituellement dans les plats préparés, on pourrait réduire de 1 000 000 le nombre de Canadiens qui souffrent d’hypertension. Il semblerait également qu’une alimentation réduite en sodium contribuerait à diminuer l’incidence des troubles cardiovasculaires. C’est ce qu’indiquent les résultats de deux essais cliniques menés aux États-Unis par des chercheurs de l’Université Harvard. Contrairement à la croyance populaire, le sel marin n'est pas meilleur (ou moins nuisible) pour la santé. Il est vrai que celui-ci contient naturellement plus de minéraux mais ceux-ci sont parfois enlevés lors du traitement en industrie.

Du cœur à l’assiette

jeudi, 23 octobre 2008 20:00

La Maison Simonne Monet-Chartrand tenait mercredi soir au restaurant Fourquet Fourchette son cocktail de financement annuel. Une occasion en or de lancer sa toute nouvelle réalisation : un livre de recettes rapides, santé et peu coûteuses.
La soirée se tenait à l’occasion du 10e anniversaire du restaurant Fourquet Fourchette. Le chef du restaurant, François Pellerin, en était d’ailleurs le président d’honneur. Une centaine de convives se sont présentés, alors que 80 exemplaires du livre de recettes « Du cœur à l’assiette » ont été vendus. « C’est un projet qu’on voulait réaliser depuis longtemps. On vise entre autres les jeunes femmes qui ont parfois de la difficulté avec la cuisine. Les recettes qui s’y trouvent sont santé, rapides à faire et peu coûteuses », a indiqué hier la directrice de la Maison Simonne Monet-Chartrand, Mme Monique Simard. Un vingtaine d’artistes ont contribué au livre avec leurs recettes personnelles, dont Jean-Michel Anctil, Isabelle Blais, Josée Di Stasio et bien sûr, Francois Pellerin. À la fin du livre, on retrouve de l’information sur la violence. C’est Mme Marie-Michèle Mahas, de Les épices de Marie Michèle sur la rue Bourgogne à Chambly, qui a réuni le tout dans un seul ouvrage.

Après deux semaines ronflantes, le discours politique s’est animé lors des derniers jours de la campagne, jusqu’à l’élection de mardi. Un scrutin qui aura finalement permis au Parti conservateur de solidifier un gouvernement minoritaire aujourd’hui un peu moins fragile. Un vote qui aura une fois de plus permis au Bloc québécois de s’établir comme le parti qui représente le mieux les intérêts du Québec (le message est redondant, mais il fonctionne !). Une élection que le Nouveau parti démocratique et le Parti vert auront utilisée pour gruger un peu de terrain au pays, quoique rien qui puisse inquiéter les conservateurs au pouvoir. Reste les libéraux, les grands perdants de la 40e élection fédérale. Eux autres en ont mangé toute une. Comme plusieurs l’avaient prévu d’ailleurs. Au moins, ils peuvent se consoler en se disant qu’ils ont atteint le fond du baril. Le fait est qu’on imagine mal que celui qu’on appelait encore il n’y a pas si longtemps le natural governing party puisse faire pire lors du prochain scrutin. Parfois, il faut se casser la gueule solidement pour pouvoir rebondir et cette fois, la chute a été abrupte.

100 ans de fierté

jeudi, 09 octobre 2008 20:00

Nos Glorieux sont de retour pour une 100e saison. Un party qui commence ce soir à Buffalo. Et avec les récentes annonces de l’organisation, qui construira et entretiendra des patinoires extérieures ultramodernes, qui s’impliquera plus que jamais dans la communauté et qui fera, finalement, le travail que le gouvernement ne fait pas, on n’a jamais été aussi heureux de retrouver le CH. Le moins qu’on puisse faire, c’est d’espérer très fort une 25e Coupe Stanley. Le Canadien qui revient, ça ne veut pas juste dire plus de soirées devant la télé. C’est une passion renouvelée pour un peuple dont les fiertés communes se font de plus en plus rares. Un élément central du tissu social québécois. Une représentativité unique dans une société où le cynisme envers nos représentants politiques a atteint son paroxysme, où on ne sait plus vers où regarder pour apprécier l’image qu’on fait de nous. Mais au-delà de la fierté, le Canadien, c’est l’unité. Car on a beau parler français, anglais, arabe ou italien ; on a beau être blancs, noirs, jaunes ou mauves picotés, ça change rien. Avec le chandail bleu-blanc-rouge sur le dos, il n’y a plus de différences, plus de jugements de valeur.